Jai trouvé Mononoké en streaming mais seulement en VF 585. Golem - 14/09/09 15:19 : Chez Satoshi Kon en revanche, c'est plus que des allusions. Du coup j'ai retiré Perfect Blue, Paprika et Tokyo Godfathers de l'étagère de mes gamins, ça m'évitera des questions que je préfère repousser à plus tard. 578. Golem - 15/06/09 15:49 : J'avais déjà vu. Mais j'ai vraiment Réaliséavant Paprika, Perfect Blue confirme les ambitions du regretté Satoshi Kon de pousser l'animation à un niveau d'exigence formelle et thématique égal à celui du cinéma live.Dans l'univers de l'animation, Satoshi Kon était peut-être l'un des réalisateurs les plus cinéphiles, son oeuvre révélant un soucis accru et constant de la mise en scène, et notamment Posterof Perfect Blue movie. ID:1221394; Size: from 4x6 to 23x33 inch; Media: Canvas, Glossy, Semiglossy, Matte, Laminated; Price from $1.45; British movie poster image for Perfect Blue (1997). The image measures 600 * 889 pixels and is 139 kilobytes large. SatoshiKon Avec : de casting ! Pas, Stephen Apostolina, Bob Buchholz, Christopher Carroll, Dyanne DiRosario, Don Fischer Genre : Dessin animé. Sorti en 08/09/1999 Durée 01h21 À partir de 12 ans. 3 /5 Donnez votre Perfect Blue — Wikipédia.Résumé. La chanteuse et idole J-pop Mima quitte son groupe déjà très populaire, les Cham, pour se lancer dans une carrière d'actrice. Elle accepte alors un --Arnaud Giovaninetti — Wikipédia.Filmographie Au cinéma. 1990 : Mima de Philomène Esposito; 1991 : L'Amant de Jean-Jacques Annaud : l'aîné; 1993 : Profil bas de Claude Zidi : Ludo Bodydouble. Premier film de Satoshi Kon, Perfect Blue est un coup de maitre salvateur incarnant les déboires schizophréniques d’une artiste s’enfermant dans une paranoïa destructrice. Mima, belle et jeune Lire la critique. PerfectBlue - VOST [VHS] : Kon, Satoshi: Amazon.fr: DVD et Blu-ray Choisir vos préférences en matière de cookies Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer vos expériences d'achat et fournir nos services, comme détaillé dans notre Avis sur les cookies . Achetez Perfect Blue à petit prix. Livraison gratuite (voir cond.). Retrouvez infos & avis sur une large sélection de DVD & Blu-ray neufs ou d'occasion. Découvrezdes commentaires utiles de client et des classements de commentaires pour Perfect Blue - VF [VHS] sur Amazon.fr. Lisez des commentaires honnêtes et non biaisés sur les produits de la part nos utilisateurs. Leregretté Satoshi Kon, toujours sur le devant de la scène française avec la ressortie cette année, de l'un de ses films devenu culte, Perfect Blue. OfkKj. Synopsis Lorsque les prestigieux studios de cinéma Ginei font faillite, une chaîne de télévision commande un documentaire et mandate deux journalistes pour retrouver et interviewer Chiyoko Fujiwara. Celle qui fut une des grandes stars de la Ginei, et qui vit recluse chez elle depuis trente ans, accepte la proposition et se lance dans le récit de sa vie. Adolescente, avant la guerre, elle croise la route d’un jeune dissident politique qui essaie d’échapper à la police. Ce dernier lui confie une clef avant qu’elle ne l’aide à s’enfuir en train et qu’il disparaisse brutalement de sa vie. Amoureuse éperdue, elle décide de devenir actrice de cinéma dans l’espoir que le fugitif la reconnaisse un jour sur un écran et qu’il la retrouve... Doc. Cinéma, France, 2020, 1h21VFHDDispo. plus de 3 moisCe documentaire fait partie de la sélection Cannes Classics 2021. Il s'intéresse à l'œuvre du réalisateur Satoshi Kon par le spécialiste du cinéma nippon Pascal-Alex Vincent. Cette découverte de l'univers de Satoshi Kon est ponctuée des interviews des plus grands réalisateurs japonais, français et américains qui se sont un moment donné inspirés de son presseDisparu précocement en 2010, Satoshi Kon a littéralement révolutionné l'animation japonaise en quatre longs métrages à peine Perfect Blue, Millenium Actress, Tokyo Godfathers et l'extraordinaire Paprika . Portrait d'un cinéaste écrit, nourri de points de vue variés, cet excellent doc réussit à rendre accessible un cinéaste japonais énigmatique. Il lève aussi le voile sur son impressionnante influence la navigation pour parcourir la dernière catégorie Review de l'anime Perfect Blue Publiée le Vendredi, 25 August 2017 Grand nom de l’animation, Satoshi Kon est connu pour ses films emblématiques, des œuvres qui jouissent d’une solide réputation dans le monde entier. On retient Perfect Blue, Tokyo Godfathers et Paprika, notamment, mais l’artiste a aussi œuvré sur quelques séries d’animation. Nous lui devons par exemple Paranoa Agent ainsi que l’épisode 12 des OAV de Jojo’s Bizarre Adventure, marquant l’époustouflant combat contre Dio Brando. Tristement, décède en 2010 suite à un cancer, Satoshi Kon a donc laissé sa trace dans l’animation, à travers des œuvres méritant de figurer dans toute animethèque qui se respecte. Sorti en 1997, le film Perfect Blue a soufflé sa vingtième bougie cette année, il n’est donc pas anodin que Kazé ait cherché à rendre hommage à l’œuvre avec une édition collector réunissant les supports Blu-ray et DVD. Chanteuse dans un groupe d’idoles qui jouit d’une petite, mais solide réputation, Mima choisit de mettre fin à sa carrière de musicienne dans le show-biz, préférant une expérience dans le monde du cinéma. Le choix de Mima surprend les fans ainsi que Rumi, son agente, qui n’approuve pas pleinement cette réorientation. L’entrée de Mima dans le cinéma se fait via un petit-rôle, mais grâce à sa réputation, l’ancienne chanteuse obtient un rôle plus important qui marquera sa descente aux enfers. Car tandis que sa notoriété de comédienne monte et qu’elle est amenée sur des projets aussi choquants que sulfureux, Mima voit son entourage professionnel devenir la cible d’un tueur macabre. En parallèle à ces évènements, Mima se rendra rapidement compte des phénomènes étranges qui la guettent et que même sur internet, tous ces faits et gestes sont épiés… Sur le papier, Perfect Blue peut paraître peu innovant, surtout si on apprécie certaines œuvres cinématographiques de Martin Scorsese ou David Fincher qui, dans le genre du thriller psychologique, ont l’art de retourner le cerveau. Car le film de Satoshi Kon, adapté du roman de Yoshikazu Takeuchi, s’impose dans ce registre en narrant les évènements inquiétants qui vont entourer la reconversion de Mima, chanteuse d’un groupe d’idole qui va intégrer le monde du cinéma via une carrière d’actrice. Long d’environ 80 minutes, une durée finalement assez courte, le long-métrage ne perd pas vraiment de temps pour décortiquer toute une esthétique malsaine qui fait part du côté torturé du scénario. Car si les évènements les plus macabres ont lieu après un certain temps de mise en place, le décalage entre Mima et le monde qui l’entoure va, lui, démarrer rapidement et monter crescendo jusqu’à la fin du titre. Perfect Blue explore alors la psyché humaine à travers son héroïne, une femme qu’on ne sent jamais vraiment à sa place, jugée de toute part par la société, et consciente des sacrifices qu’elle doit faire pour maintenir son existence dans un univers que l’on sent rapidement sans scrupules. Il ne faut pas attendre bien longtemps pour observer les thématiques développées par le film qui, sans forcément critiquer le monde du show-business ou celui du cinéma, exploite les perversions de l’être humain pour créer un sentiment de malaise qui reste constant dans le film. Cette aura inquiétante, nous la devons aussi bien à l’intrigue qu’à la réalisation de Satoshi Kon qui s’imprègne de la vision de Mima en toutes circonstances. La mise en scène du réalisateur prend soin d’aborder l’entourage de Mima avec un certain élan glacial, une volonté qui a pour effet de dépeindre un univers cruel notamment par quelques techniques de mise en scène perturbantes ou une colorimétrie souvent et volontairement très terne. Les instants les plus colorés du film restent alors les moments où Mima rejoint son modeste appartement, ce qui s’apparente à son seul confort dans un premier temps, ou alors dans l’alter ego que la jeune femme va se forger, créant en elle-même l’image de sa propre personne quand elle était une idole, vêtue de froufrous et d’un bandeau rouge dans les cheveux. A ceci s’ajoute une capacité de Satoshi Kon à rendre choquantes des séquences de meurtre, signe des évènements impitoyables qui vont frapper l’entourage de la protagoniste. Il ne faut pourtant pas grand-chose au réalisateur pour ça des idées de meurtre particulièrement gore et des techniques de mise en scène qui parviennent à rendre le tout brusque et sans échappatoire. L’apothéose de la réalisation du cinéaste se ressent notamment dans la séquence finale, déroutante par la simplicité de la résolution de l’intrigue, mais captivante par son sa représentation de la folie, le tout donnant lieu à une course-poursuite invraisemblable qui nous fait perdre nos repères à chaque seconde. Si la réalisation joue un grand rôle dans l’ambiance globale du film, l’intelligence du scénario accomplit aussi bien cette vocation. Outre toutes les thématiques que l’œuvre peut dépeindre, c’est la maitrise du scénario qui est à saluer. Perfect Blue jouant dans la cour des thrillers psychologiques où il est question d’un assassin fou furieux qui traque une héroïne, il est facile voir rassurant de se croire en terrain connu et de chercher à deviner l’issue du récit, les différents rebondissements cherchant même à donner raison au spectateur à des moments. Pourtant, au fil des minutes, il sonne différents sons de cloches, et le spectateur n’est plus si sûr de son opinion, se demandant s’il a affaire à un meurtre pur ou à un cas de folie inconsciente chez Mima. En ce sens, la fin du film est imprévisible et le climax de Perfect Blue, aussi bien mené soit-il, est impossible à prévoir. Pourtant, avec visionnage, les pièces du puzzle s’imbriquent et les différents indices donnés par la mise en scène trouvent un sens. Pourtant, par un scénario qui semble prendre des tournures différentes à chaque fois et une trame de fond sur le tournage d’un film qui pouvait faire écho à l’histoire de Yoshikazu Takeuchi, un tel final n’était pas couru d’avance. Aussi, il est tentant de s’adonner à un second visionnage pour vérifier dans quelle mesure le film prévoyait son dénouement dès sa première seconde. Outre l’œuvre, c’est l’édition de Kazé qu’il convient de saluer. Pour un prix somme toute assez modeste étant donné les dimensions du coffret, l’éditeur propose une monture tout à fait convaincante. Coffret au format A4 couverte par un fourreau plastifié, l’objet accueille deux livrets de bonne taille l’un, d’une soixantaine de pages, consacré aux artworks couleur et à un entretien passionnant avec Satoshi Kon sur l’œuvre et le second, un épais cahier de presque deux-cents pages, propose le storyboard du film et des scènes coupées. En somme, des outils idéals pour approfondir la connaissance de l’œuvre tout en contribuant à la noblesse de l’édition qui, entre les mains, a fière allure. Les deux galettes, un DVD et un Blu-ray, sont à insérer sur un simple présentoir cartonné, assez fragile certes, mais qui trouve sa place dans le tout. L’essentiel étant alors de ne pas manipuler et ranger les différents éléments comme un sauvage… Côté suppléments, on notera des bonus forts appréciables comme un entretien avec Junko Iwao, seiuu de Mima, et avec Satoshi Kon. Finalement, le seul bémol d’édition restera la remasterisation en haut définition qui est loin d’honorer toutes les attentes, l’image manquant de netteté et laissant parfois un grain. Pour parler du doublage français, proposé parallèlement à la version originale sous-titrée, celle-ci est de bonne facture. Si le bémol restera les comédiens sur quelques rôles secondaires qui manquent de conviction, Marie-Eugénie Maréchal campe une Mima assez envoutante par ses doutes et sa peine à s’imposer dans un univers où règnent des phénomènes inquiétants. Alors, si Perfect Blue est un film brillant par la maitrise de son intrigue et de sa réalisation et profitant de thèmes complexes et donnant à réfléchir, Kazé fait honneur au travail de Satoshi Kon avec une édition luxueuse, une monture comme on aimerait en voir d’autres sur les pépites de l’animation japonaise. Malgré une remasterisation HD qui manque de panache, cette version se doit d’être possédée par tout amateur d’animation voire de cinéma. Critique 1 L'avis du chroniqueur Takato 17 20 Reviews of the dvd volume Perfect Blue HK Vidéo Perfect Blue - Collector

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