Dansle but de consolider leur amitié, cinq jeunes filles ont décidé de créer un club de soirée pyjama, en leur promettant qu'elles passeraient l'une après l'autre l'une après l'autre. Au cours de ces nuits, ils discutent des potins de l'école et de divers autres détails, et avec toutes les choses folles qui se passent dans leur vie, il ya beaucoup à dire.
Océane elle, a organisé sa première soirée pyjama en classe de CP. Au début, une seule copine pouvait dormir à la maison alors qu’aujourd’hui, elle a le droit d’accueillir jusqu’à
Autumnest maintenant coincée dans cet endroit inconnu avec ses faux amis qui viennent de l'utiliser. Pire encore, il fait un froid glacial et ennuyeux lorsq
CoincéDans Une Soirée Pyjama Avec Mes Faux Amis Veuillez aimer et vous abonner à notre page pour voir les dernières vidéos #histoirescourtes. Aller vers. Sections de cette Page. Aide accessibilité . Facebook. Adresse e-mail ou mobile: Mot de passe: Informations de compte oubliées ? S’inscrire. Coincé Dans Une Soirée Pyjama Avec Mes Faux Amis. Histories
Enétant gentil avec vos frères et sœurs, vous montrerez à vos parents que vous êtes suffisamment responsable pour organiser une soirée pyjama. Que vous ayez une petite sœur embêtante ou un grand frère tyrannique, faites de votre mieux pour vous conduire aimablement avec eux. Aidez-les lorsqu'ils en ont besoin, ne vous disputez pas avec eux et faites de votre
Lesinvitations jouent un rôle important dans une soirée pyjama réussie. Ils sont l'ingrédient qui dit à vos invités potentiels quand, où et quoi. Si vous voulez que les invités apportent des objets particuliers, ce sera le meilleur endroit pour lister les choses. Et plus l'invitation est intéressante, plus vos invités seront nombreux à venir assister à la soirée
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Si j’en crois ce que j’ai lu en Novembre dernier, l’imprimante connectée LG vous avait séduite. Il s’agit d’une imprimante pocket pour smartphone qui fonctionne grâce au bluetooth. Et aujourd’hui, je vous propose de la gagner ici, sur le blog! Contrairement à la plupart des objets connectés que je vous avais présenté dans mon article sur une journée connectée, celle-ci fonctionne avec tous les systèmes d’exploitations, puisque l’application pour mobile qui permet de s’en servir est disponible sur Apple Store, Androïd Market et Google Play! Ce qui signifie que, quel que soit votre smartphone, l’imprimante photo portable LG est compatible avec son système! Et aujourd’hui, je vous propose de remporter cette imprimante pocket LG + 1 paquet de papier pour vous en servir dès que vous la recevrez! Il s’agit d’une imprimante photo portable de couleur blanche, bien que le packaging présente un modèle rose. Un très beau cadeau d’une valeur d’environ 100€, qui ferait merveille sous votre sapin, non? C’est Noël avant l’heure! D’ailleurs, je pense que les lecteurs seront contents de voir que ce concours s’adresse autant aux hommes qu’aux femmes! Cela faisait longtemps que je vous avais un peu laissé de côté. Promis, je reviens bientôt avec une nouvelle bonne adresse restaurant! Mesdemoiselles, je sais que nous manquons toutes d’idées quand il s’agit de trouver un cadeau pour homme, alors une imprimante photo portable connectée serait un joli présent à leur offrir. A moins que vous ne souhaitiez la garder pour vous! En parlant de présents, je vous invite à relire mes idées de cadeaux pour homme pour vous inspirer! Comment procéder pour tenter votre chance? Il suffit de Liker la page Facebook de la boutique Orange de Caen Liker ma page Facebook Me laisser un commentaire sous cet article, en me disant quelle serait la première photo que vous imprimeriez si vous l’aviez votre chat, votre moitié, vos amis, etc… Vous avez jusqu’au lundi 21 Décembre 23h59 pour participer! Concours réservé à la France Metropolitaine Je remercie énormément la boutique Orange de Caen pour ce concours, qui, je l’espère, vous plaira! Edit du 24 Décembre Ho ho ho, le Père Noël passera cette nuit, mais il est déjà temps de gâter l’un d’entre vous! C’est Manon E., commentaire 41, qui remporte l’imprimante photo portable LG Pocket! Bravo à toi! J’attends ton adresse postale 😉 About lebeautemps Les conseils et péripéties d'une blogueuse à chat noir.
Je me décide à apporter mon témoignage sur des viols durant 3 mois, a raison de 2 à 7 viols par 24 heures chaque jour, Je venais de fêter mes 14 ans, mon violeur était un membre de la famille beau-frère. Espérant que cela puisse aider d’autre personnes ayant subit ce genre de sévices. Ou à des personnes de ce confier, si elles n'ont jamais pu le faire... La fin de l’année scolaire arrivait pour ma plus grande joie ,pas tellement pour mon 14 ème anniversaire qui tombait en cette fin d’année, juste avant les vacances. Mais cela marquait la fin de cette année scolaire qui avait été une véritable torture. Autant l’année scolaire de mes 12-13 ans avait été formidable, grâce à une religieuse exceptionnelle de gentillesse, hélas sœur Jeanne de Chantal » qui arriva après m’avoir utiliser pendant les vacances pour faire le ménage de la classe et divers travaux, que je faisait de bon cœur, heureuse de rendre service. Cet état de grâce dura peu, je pense avec du recul, que son comportement changea lorsqu’elle apprit que j’entretenais une correspondance avec l’ancienne maîtresse mutée hélas…à Belle Ile en mer. Cela la rendit vraiment très méchante, et j’allais désormais chaque jour en pleurant à l’école, angoissée pour chaque journée, sachant que comme les autres journées, j’aurais droit à des humiliations diverses, et des coups durant la dictée. Je rêvais d’une maladie grave, d’être handicapé, quitte à en mourir…en fait la mort ne m’effrayait pas, tandis que ma maîtresse me terrorisait, tout ce qui me sauverait de l’école… j’en rêvais. Sœur jeanne de Chantal avait un don certain pour m’humilier. C’était donc l’année de mes 13 ans. Dans la classe il y avait une porte qui donnait sur une classe de petits de CP, la jeune enseignante était enceinte, et chaque fois qu’elle était absente pour diverses raisons. Ma maîtresse me mettais pour la surveillance de cette classe, ce qui a priori ne m’ennuyais pas, j’aimais les enfants et donc je les faisais lire. Cela avais 2 avantages pour mon enseignante 1- Pendant que j’étais avec les petits, je manquais des cours. 2- Elle utilisa cette responsabilité près des enfants pour me faire une terrible honte à certaines de mes effet j’étais faible en orthographe, elle ce plaçait devant moi pour chaque dictée. Et à chaque faute je recevait sa main qui ce projetais avec violence sur mon menton, souvent à en tomber par terre. Et elle faisais rire la classe contre moi, par des bons mots pour ce moquer, je n’en voulaient pas aux camarades, elles devaient être si soulagées que la colère de la sœur ne soit pas dirigé contre elles. J’aurais sans doute fait pareil, car quand par hasard elle s’en prenait à une autre, je soufflais un en grande solitude et souffrance morale, et durant cette année je fut convaincu grâce à son acharnement moral, que j’étais nulle, sans aucun intérêt, et je n’avais plus aucune estime de moi-même. Les dictées avait lieu tous les jours. Je me sentais terroriser chaque fois qu’il fallait sortir le cahier pour cette terrible dictée, et la terreur me faisait faire encore plus de fautes, je ne pouvais plus réfléchir, j’étais en panique utilisa donc fort à propos comme humiliation, cette classe de petits ou j’allais régulièrement. A la fin de certaines dictées ou des larmes avaient tachés des mots, elle toquait à la porte puis me poussait dans la classe avec mon cahier, et demandait aux enfants de me faire honte. Et les enfants obéissaient. Ma maman étonnée de me voir pleurée chaque matin juste avant de partir à l’école, sans m’avertir elle écrivit une lettre à la mère supérieure, et je me trouvais convoquer dans le bureau sans savoir pourquoi !J’étais en panique et tête basse ne comprenant pas ce que je faisait là..La mère supérieure me demanda simplement si tout allait bien, je dit que oui Je n’allais certainement pas dire mes problèmes, persuadée que tout serait pire . En moi-même je me disais - Si seulement elle venait voir de temps en temps par les vitres du couloir ce qui ce passait dans la classe. Moi je ne pouvait pas moucharder ! Sous peine de retrouvais ma classe, et là horreur ma tortionnaire agitait un morceau de papier folle de rage - Qui ce plaint prés de sa maman ? Et son regard était d’une férocité qui me faisait savoir que cela me concernait. J’ignorait toujours que maman avait écrit, et cette lettre était dans les mains de ma tortionnaire. Puis elle lut la lettre, une phrase reste gravée dans ma mémoire…-Je ne comprend pas, Annie allait à l’école de bon cœur l’an passé, cette année elle est en larmes chaque matin pour partir à l’école…Que ce passe t’il ?Comme qui dirait que ce fut ma fête ! Et elle redoubla de méchancetés à partir de ce jour là. J’arrivais en larmes à la maison en disant à maman -Mais pourquoi ? pourquoi tu as écrit cette lettre ?Je ne pouvais pas me confier à Maman certaine que rien ne pourrait s’arranger, que tout serait toujours pire avec cette folle pour enseignante. L’année d’avant la sœur que j’aimais présentait toutes les élèves au certificat d’études primaires, et le taux d’échec était faible. Mais tout le monde avait sa nouvelle enseignante ne présenta que les élèves qu’elle savait sur de la réussite, pour son prestige. Je me souviens de l’ovation qui lui fut faite, autant de présentés que de reçus. J’étais donc non présenté par la religieuse, et mes parents me présentèrent comme ils en avaient le droit. A cette époque en 1962 le certificat se passait en 2 jour couture et toutes les matières scolaires, dont cette foutu dictée 5 fautes était éliminatoire. Mais miracle nous l’avions eut en classe cette dictée ! -le deuxième jour C’était une chanson Le chant du départ ou la marseillaise en tirage au sort et une récitation. Deux matière que j’aimais jour du certificat, je ne retrouvais aucune élève que je connaissais. Quelle angoisse !Puis, bien que toujours dispensé de couture par l’ophtalmologiste, trop mauvaise vue ce jour là, malgré la dispense, on m’obligea à cet exercice, n’ayant jamais fait ce genre d’activité, et de surcroît très handicapé par une transpiration des mains excessive. Mon ouvrage fut trempé en un rien de temps, et l’aiguille ne voulait plus glisser dans le tissu. Ce que je rendit était lamentable, et le prof qui eut le travail entre mes mains était hilare. Il frappa à la porte du collègue à coté, lui montra mon œuvre, et me désigna du doigt en ce foutant de moi tous les l’humiliation de trop, malgré la pression de mes parents je refusais obstinément d’aller en seconde partie sûre d’ailleurs d’avoir échouée à la première. Et incapable d’en suporter fut ma tortionnaire qui m’écrivit durant les vacances, pour m’écrire qu’il était dommage que je n’avais pas fait la seconde partie, car j’étais reçu à la première. Ce qu’elle à du aimer me faire cette lettre. Si elle m’avait présentée j’aurais tout fait comme mes camarades de classe, et avec elles je ne me serais pas senti si seule et était convenu avec mes parents que si j’avais le certificat, j’irai passer les vacances chez ma sœur marié loin de nous sans nous parce que enceinte avec un bébé de 9 mois que je connaissais pas, dont j’étais la marraine par procuration. J’adore les enfants et j’espérais aller découvrir enfin ma petite n’avais pas été au bout du certificat, donc ce fut une surprise lorsque mes parents me dirent que j’irai tout de même à 900 km de chez moi, chez ma sœur 12 ans de plus que moi ainsi que mon beau-frère. Je n’imaginais pas que ce serait les pires vacances de ma vie, les plus indélébiles et les plus amour de mari Ma sœur s’était marié sans que nous puissions venir à son mariage, elle habitait à 900 km de chez nous. Elle était enceinte de Christiane…il y avait urgence de régularisé la situation par le mariage. Quand elle avait mit au monde la petite puce, j’étais frustrée de ne pas la voir, la pouponner. C’était loin ! faute d’argent pour s’y rendre il fallait attendre, toujours attendre !C’est donc folle de joie que je fit connaissance de ma petite nièce, adorable bébé de 10 mois, J’adorais les bébés et ma sœur enceinte d’un second enfant n’avait pas trop la force de s’occuper de Christiane. C’est avec soulagement qu’elle me laissait m’occuper de la petite. C’est moi qui la promenait, la câlinait la faisait manger, et cela me comblait de joie, car elle me le rendait se passa hélas fort peu de jours avant que mon beau-frère 12 ans de plus que moi, ne m’embrasse sur les lèvres en me coinçant dans un angle…beurk ! je trouvais ça dégoûtant. Il me dit de n’en pas parler à ma sœur. J’avais pourtant envie de demander à ma sœur pourquoi il avait fait ça ? D’un autre côté me croirait t’elle ?J’espérais surtout qu’il ne recommencerait y avait la cuisine, et une seule chambre avec le lit d’enfant et le lit 2 places. Mon matelas était descendu de dessus l’ armoire le soir pour être installée par terre. Rapidement il refusa un soir de descendre le matelas ,et il dit que nous allions dormir tous les trois dans le lit. Ma sœur ne fit pas d’objection, et il s’installa entre nous deux. Tandis que je cherchais le sommeil. Il me pris la main pour caresser son sexe en va et viens. J’étais horrifié, mais je pris le parti de faire semblant de dormir pour pouvoir réfléchir. Ce qu’il faisait était mal , dégoûtant mais que faire ?Ma sœur adorait son homme, elle me ventait constamment ses louanges de mari et de père. De son coté il était le plus attentionné des maris, soucieux du bien être de sa femme, lui déclamant son amour à chaque instant. J’étais incrédule devant tant de cinéma…avais-je rêvé tout cela ? Comment ma sœur pourrait t’elle me croire si je lui disait ce qui c’était passé dans la nuit. Je n’en avait pas fermé l’œil, cherchant une issue que je ne trouvais pas. Je n’avais aucun moyen de faire savoir à mes parents que je voulais rentrer, mon courrier était lu au départ comme à l’arrivée. Le téléphone n’était ni chez mes parents, ni chez ma sœur. C’était rare à cette époque. Le soir venu il refusa à nouveau de descendre le matelas, je dit que je dormirais par terre. Devant mon refus Solange insista pour qu’il me mette le matelas au sol , ce qu’il fit de mauvaise lendemain, il faisait beau comme toujours dans le sud, et mon beau-frère Léon insista près de ma sœur afin qu’elle se repose sur un transat dehors, il l’installa confortablement couverte de mots d’amour et de baisers. Tandis que moi et lui ferions le ménage, la cuisine, enfin tout ce qui est à faire dans une maison. Ce jour là il ne ce contenta pas de ça !Alors que ma petite nièce était dans la même chambre, et ne dormant pas. Il me viola sur leur lit, me disant que c’était comme ça qu’on faisait des douleur me déchirait le ventre je pleurait et le suppliait que je ne voulait pas avoir d’enfant. Je faisais appel à l’amour qu’il avait pour ma sœur- Tu n’as pas intérêt de lui dire, tu le paiera plus cher que comme ses yeux me semblait fou, je tentais alors de rester calme, de pleurer sans me disais - Un jour tu aimera ça !J’avais si mal que je pensais qu’il me traversait le ventre, je me souviens avoir penser, qu’on avait pas la même pointure…comme pour une chaussure. Il était bien trop grand, et moi bien trop avait mit une serviette sous moi. Je ne sais plus si j’ai eu ou non du sang. Mais il effaçait toute trace partir de ce jour, je n’eut plus aucun répit de jour comme de nuit. Je crus naïvement que mes règles mensuelles empêcherait ces invasions de mon corps, mais il fit alors ce qu’il me dit être ce que font deux hommes qui font l’amour…par derrière, et je trouvais cela encore pire que par devant. ces besoins étaient énormes je comptait de 2 à 7 fois par 24 qui venait d’un milieu ou le sexe ne fut jamais abordé, et ou mon ignorance était totale, j’étais jeté en pâture à cet homme sans savoir comment réagir. Je m’étais dit –Si j’aimais mon mari comme ma sœur l’aime, si ma sœur me disait que mon mari fait ces horreurs avec elle que ferais-ge Aussitôt moi je savais que j’aurais divorcé. Donc si ma sœur l’apprenait et qu’elle divorce JE SERAIS RESPONSABLE, et de cela je ne m’en sentais pas la force, j’allais bientôt rentrer chez moi, et tout cela resterais un mauvais souvenir, il fallait juste tenir 1 mois, c’est ce qui était prévu !Faire comme ci rien ne ce passait Maintenant que je savais que je ne voulait pas que ma sœur divorce A cause de moi » Il me fallait être le plus naturel possible. Avant de venir chez ma sœur et mon beau-frère j’entretenait avec eux une correspondance régulière et très affectueuse, je les aimais j’avais un frère de plus. A chaque moment durant ces vacances je me posais la question S’il ne faisait pas ça que ferais-je ? et cela me donnait l’attitude à tenir pour que ma sœur ne s’inquiète si Léon décidais de m’emmener avec lui n’importe ou, je me disais irais tu s’il ne faisait pas ça ? » la réponse était souvent oui, donc j’y allais. Je ne voulais pas que ma sœur souffre par ma fautte,elle ne travaillais pas ! Comment aurais t’elle pu ce débrouiller avec Christiane et le bébé à venir ? De plus ma sœur n’avais pas une très bonne était représentant, il passait beaucoup de temps à la maison. Ils étaient pauvre, mais vu ces horaires rien de bien surprenant. Il était toujours à la maison à mon avis. Tous les matins, tous les après-midi, il envoyait ma sœur dans le jardin pour ce reposer tandis que nous étions promis à faire tout ce qui doit être fait. Dés que ma sœur était dehors il décrochait la porte afin que personne ne puisse entrer, je savais alors ce qui m’ de lui donner des remords en lui parlant de ma sœur qu’il disait aimer. Je me souviens d’une réponse –Tant qu’elle ne sait pas elle ne souffre pas. Et tu n’as pas intérêt de lui je m’évadais de mon corps pour sentir le moins possible cette cela arrivais plusieurs fois par jour et nuit, la douleur avait cessé. Cela devenait un mauvais moment à passer, et du dégoût pour cet acte, avec le souhait que cela ce termine le plus vite possible. Non je n’ai jamais eut de plaisir JAMAIS ! juste du dégoût. Le soir mon matelas finissait sur le sol de la cuisine, avantage sur la chambre bien sur, ainsi il envoyait amoureusement sa femme ce coucher pour assouvir ses pulsions après la vaisselle faite en commun, une autre fois ou deux dans la nuit suivant ses besoins. Un soir je pensais avoir une idée lumineuse pour ne pas passer à la casserole, sans éveiller la méfiance de ma ferais la vaisselle toute seule allez vous couchez tous les deux Léon insista pour m’aider » Ma sœur dit -Mais puisqu’elle veut faire la vaisselle toute seule, viens allons nous coucher. Il essaya encore d’insister, mais ma sœur n’aurai pas comprit, il suivit ma sœur en me jetant un regard mécontent. Je pensai – Cette fois j’ai vraiment contente de ma trouvaille, et pensai la renouveler souvent, ma vaisselle fut faite de bon cœur, réjouie du bon tour que je lui avais fait, hélas j’avais pratiquement fini lorsqu’il arriva -Tu pensais t’en sortir comme ça ? Ma joie tomba nette…c’était encore loupé ! J’en aurai pleurer de rage ! Mais le plus difficile à entendre,fut le lendemain matin, ma sœur tricotait de la layette pour le futur bébé, et comme d’habitude elle me ventait les qualités de son mari. Mais là elle me dit une phrase qui me glaça le sang dans les Tu as vu comme il est gentil ! Il n’a pas pu te laisser faire la vaisselle toute seule, il a fallu qu’il vienne t’aider !Je fut à deux doigts de craquer, de la faire retomber sur terre, de lui dire ce qu’en réalité il était venu faire. Puis je me rappelais que j’avais tout fait pour la préserver, et qu’il fallait continuer. Je ne répondit rien, j’ ma maman était très très catholique, j’allais à la messe chaque dimanche, mais là me sentant si sale je ne pouvais plus aller communier. Je n’allais plus à confesse non plus, j’allais dans l’église au bout de la rue quand j’allais en courses et je pleurais. J’aurai aimer qu’un prêtre me demande pourquoi j’avais tant de peine, peut être il aurait pu m’aider…peut être. Je n’avais confiance en aucun adulte ne sachant pas moi-même comment expliquer ce qui ce passait, je ne savais pas non plus que c’était des viols, je n’en avait jamais entendu parler. Comment nommer ce qu’on ne connaît pas ? Comment ce défendre quand on ne nous as JAMAIS mis en garde de ça ! Comment être sur de n’être pas traiter de menteuse ?Les adultes on toujours raison ! Léon de par son métier était un excellent menteur, je savais que je ne faisait pas le poids ! Comment savoir ce qu’il faut faire ? Quelle répercussion y aurait t’il en parlant ? Et a qui ? Se taire ! Enterrer toute cette boue cette honte le temps des vacances, et bientôt vivre ensuite loin de tout cela. Ah Papa Maman si seulement vous pouviez écrire qu’il faut que je revienne vers vous ! Si seulement !Une nuit je décidais de dormir dans le linge sale, c’était une caisse étroite, mais en me mettant en boule c’était possible. C’était inconfortable je n’ai pas dormi, mais la joie que j’ai eut c’est de l’entendre m’appeler ,et me chercher doucement une grosse partie de la nuit…sans qu’il ne pense à chercher dans le linge sale. Evidemment il me fit la gueule le lendemain, et je fut bien obligée de lui dire ou j’avais passer la nuit. Cachette qui devenait autre fois je réussi à trouver une cachette dans le jardin, planquer dans un fourré il passait et repassait près de ma cachette sans me trouver, mais mon cœur battait vite, incertaine de n’être pas vu. Pourtant il ne me trouva pas cette fois là non plus, mais je dus lui montrer ensuite pour calmer sa colère. Et il n’y avait plus de cachette possible autre. Le mois prévu touchait à sa fin, mais ma sœur à la demande de son mari demanda et obtint de mes parents que je reste toute les grandes es tellement mieux chez nous qu’avec des parents vieux jeux me disait ma sœur. Et Léon est si content que tu sois là pour m’aider avec Christiane. Le mieux ce serait que tu sois là pour la naissance du bébé !Grand Dieu la naissance était prévu pour Novembre ! C’était la catastrophe ! Mon Dieu faite que je rentre s’il vous plaît !
avec ma nièce dans une soirée pyjama