20films qui donnent envie de changer de vie. Aurélia Baranes lundi 5 février 2018 mis à jour le mardi 2 août 2022. 1/20. Wild. Le film de Jean-Marc Vallée donne envie de tout plaquer et de Tempsde lecture : < 1 minute Brune Poirson: « Prenez donc le temps de mourir! » #BrunePoirson #Melenchon #Plastique #Verts #Actualites #Planete B. Poirson, secrétaire d’État à la Transition écologique, prévient qu’il faut se méfier des gens qui racontent vraiment n’importe quoi au sujet de l’écologie et qui veulent travailler dans la précipitation. Lesjoueurs devaient indiquer une "liste de chose à faire avant de mourir". Pas du meilleur goût, raconte FTVi , alors que la compagnie a perdu 2 avions cette année. Avantde mourir, il faut que je fasse 100 choses Alors je cherche, et je trouverai. Alors je cherche, et je trouverai. Et elles seront retranscrites ici, pour ne pas qu'elles se perdent, et que vous puissiez y puiser, pour trouver vous aussi vos 100 choses à faire.. Pasd'article dans le panier Retour à la boutique Accueil; Ameublement. Canapés et Fauteuils Chapitre18 ****Ziza**** On sait tous qu’on doit mourir un jour. On sait tous qu’un jour, nous quitteront des êtres aimés. Pourtant malgré qu’on sache qu’elle est là, qu’elle nous guette, qu’elle Propositionsde choses à réaliser avant de mourir, qu'elles soient familières ou encore à l'état de fantasme, et de, bien sûr, passer à l'acte. Détails. Prix : 21,95 $ Catégorie : Humour . Auteur : richard horne. RICHARD HORNE: Titre : 101 choses à faire avant de mourir: Date de parution : juin 2008: Éditeur : FIRST: Sujet : HUMOUR: ISBN : 9782754006897 (2754006893) Référence JohanRockström, directeur du Stockholm Resilience Centre, met en garde : "Des endroits sur Terre deviendront inhabitables si la 'Terre étuve' devient une réalité." Les chercheurs suggèrent que le point de rupture pourrait être atteint lorsque la température de la Terre sera supérieure de 2 degrés à celle de l'ère préindustrielle. Ilest de mon devoir de m’opposer aux choses qui vous peuvent déshonorer. argan, courant après Toinette autour de la chaise avec son bâton. Viens, viens, que je t’apprenne à parler. toinette, se sauvant du côté où n’est point Argan. Je m’intéresse, comme je dois, à ne vous point laisser faire de folie. argan, de même. Chienne ! MonPC ultra portable que j'utilisais avant mon MBP avait une batterie Li ion aussi, je ne l'ai jamais laissé mourir de faim à sec (cela ne lui est arrivé que 3 ou 4 fois en 3 ans), je le rechargeais toujours quand il arrivait à 10% minimum, il était sur secteur souvent, sur batterie de temps en temps et au bout de 3 ans il n'est passé que de 3h à 2h30, ce qui est encore tout à 1OiB5. Article initialement publié le 20 mars 2016 La mort lui est tombée dessus au cœur de l’été 2013. Elle avait pris la forme criminelle d’un de ces barils d’explosifs que les hélicoptères de Bachar al-Assad s’appliquent à larguer sur les souks et les bâtiments scolaires, comme si l’objectif était de tuer le plus grand nombre de civils». Il y a eu de la fumée et des éclats de métal», Samar Yazbek a baissé la tête», quelque chose est passé à quelques centimètres de son cou». Le baril, mèche mal réglée, venait d’exploser en l’ suite après la publicité Autour de Samar Yazbek, tout le monde n’a pas eu sa chance. Son récit, qui s’intitule les Portes du néant», nous fait entrer dans un monde peuplé d’enfants amputés et de cadavres pris dans des décombres; de veuves condamnées à épouser des combattants yéménites en échange d’argent»; de corps décapités au-dessus desquels la romancière d’Un parfum de cannelle» a vu bourdonner un petit nuage de mouches»; de familles qui survivent on ne sait comment, entassées dans d’antiques mausolées romains, humains errant dans les entrailles de la terre, pareils à des bêtes creusant leurs propres tombes». L’apocalypse, now. N'oublions pas le calvaire des femmes en Syrie, par Samar Yazbek Samar Yazbek est née en 1970. Elle aurait pu se dispenser d’aller risquer sa peau, dix fois par jour et dix fois par nuit, dans cet enfer. Les origines alaouites de cette belle femme blonde, qui a étudié la littérature à Lattaquié et Damas, auraient même dû la propulser dans les hautes sphères du régime plutôt qu’au côté des martyrs de l’Armée Syrienne Libre, dans des zones où un émir islamiste lui a expliqué sur un ton glaçant que les alaouites sont des apostats qui méritent la mort». Mais le respect prudent des conventions n’a jamais été le fort de cette quadragénaire qui a quitté la maison familiale à l’âge de 16 ans» pour élever son enfant seule» Je suis une femme globalement rebelle, résume-t-elle dans un sourire troublant. Je suis de gauche, j’ai été active dans les questions de droits de l’homme en Syrie, je crois avoir vécu une histoire de libération personnelle assez violente contre toutes les institutions de la société arabe.»La suite après la publicité Comment aurait-elle pu ignorer le printemps arabe», quand il a gagné la Syrie au printemps 2011? Samar Yazbek y a participé. Elle a été jetée en prison. Elle y a reçu des coups. Elle a enfin pu fuir à Paris. Elle qui, jusqu’ici, scannait les zones d’ombres de la bonne société damascène dans des fictions osées Un parfum de cannelle» raconte la liaison homosexuelle d’une bourgeoise avec sa domestique, publie alors Feux croisés journal de la révolution syrienne» Buchet-Chastel, 2012 et collectionne des prix littéraires qui applaudissent son courage. La revenante Puis Samar Yazbek est revenue en Syrie. Elle qui avait toujours rêvé de liberté et de Paris aurait pu rester à l’abri en France, mais non trois fois, entre août 2012 et août 2013, elle s’est rendue dans la région d’Idlib en se faufilant sous les barbelés de la frontière turque. C’était pour collecter des témoignages et aider les femmes syriennes avec son association, Women Now For Development, mais aussi parce qu’elle était convaincue qu’elle allait y rester». Ça n'a pas été possible. A chaque fois, la situation se dégradait. Le temps jouait contre moi et contre la révolution, parce que les djihadistes se faisaient de plus en plus nombreux, la révolution était en train d’être volée, et il y avait toujours les bombardements. C’étaient des bombardements très forts. A cause de mes appartenances familiales, parce que j’étais une personne laïque, je faisais partie de tout un processus, démocratique et non confessionnel, qu’on essayait d’éliminer. Lorsque j’ai compris que je ne pourrais pas continuer de vivre là-bas, parce que Daech se confirmait sur le terrain, j’ai décidé d’écrire le livre.»Comment les enfants de Syrie dessinent sous les bombes Ce livre, des Anglais l’ont spontanément comparé à l’Hommage à la Catalogne» de George Orwell. Ces Anglais-là ont bien fait. La romancière, elle, a été très surprise.» Je ne connais pas cette littérature-là. Mais mon grand désir était de dire, de restituer la vérité. ... La communauté internationale protège Bachar, mais il n’a aucune circonstance atténuante. Il faut le présenter à La Haye comme criminel de guerre, c’est tout. J’ai très peur de Daech il me condamne comme femme, c’est l’ennemi universel; mais dire que la guerre a lieu entre Bachar et Daech est faux. Le monde doit comprendre que Bachar fait partie des fabricants du terrorisme. ... Je sais qu’au cours de l’histoire, la vérité change, qu’elle varie beaucoup. Ce livre pouvait être un tout petit clou dans le mur, auquel on pourrait accrocher quelque chose.»Il faut l’espérer. En attendant, les Portes du néant» est à la fois un formidable hommage à l’héroïsme quotidien des Syriens et une terrible enquête sur la transformation d’une révolution pacifiste en guerre civile, puis en guerre de religion, où des mercenaires étrangers se comportent en force d’occupation pendant qu’un tyran décime» son peuple, et encourage ses hommes à commettre des viols confessionnels. Mais ce récit ne serait qu’un document exceptionnel sur la barbarie contemporaine s’il n’était imprégné, dans chacune de ses pages, de la douleur bouleversante d’une femme désormais condamnée à l’exil, et de sa détermination à porter la voix des autres. La voix de gens qui meurent tout le temps».La suite après la publicité Grégoire Leménager Les Portes du néant, par Samar Yazbek, traduit de l’arabe par Rania Samara, préface de Christophe Boltanski, Stock, 302 p. 20,99 euros. Les dernières nouvelles de Syrie “Il faut présenter Bachar al-Assad à La Haye comme criminel de guerre” L’OBS. Vous avez collecté d’innombrables histoires pour écrire les Portes du néant». Pourriez-vous résumer la vôtre, en repartant de la femme que vous étiez avant la révolution, jusqu’en mars 2011? Car votre livre montre bien que vous n’êtes évidemment plus la même. La suite après la publicité Samar Yazbek. Ce n’est pas le livre qui m’a changée, c’est ce qui s’est passé ces dernières années en Syrie. Je suis globalement une femme rebelle, rebelle contre les traditions et les us et coutumes. J’ai quitté la maison familiale quand j’avais 16 ans. J’ai été active dans les questions de droits de l’homme en Syrie, je suis de gauche, je crois avoir vécu une histoire de libération personnelle qui a été violente, contre toutes les institutions de la société arabe – que ce soient des institutions religieuses, confessionnelles ou sociales comme l’institution du mariage par exemple. J’ai toujours vécu en femme indépendante, et j’ai élevé mon enfant seule. C’était quelque chose de difficile dans le monde arabe, mais je pensais qu’être libre était une responsabilité. Et dans la mesure où j’avais fait quelque chose de non conventionnel dans la société, il était de mon devoir d’aller jusqu’au bout. La femme qui était avant la révolution, elle est toujours là après la révolution. C’est la même. La différence… c’est difficile la question que vous posez. La différence, c’est comment tu gères la douleur et comment tu transformes l’enfer en action. La différence, encore plus forte, c’est que je me suis retrouvée au cœur de la mort, alors qu’avant j’avais une relation étroite avec la liberté, et que ma relation avec la mort était métaphorique. Là, j’étais en plein confrontée à la question de la mort. Je suis devenue beaucoup plus triste, mais je suis beaucoup plus déterminée qu’avant sur les questions de liberté et de responsabilité. Au printemps 2011, après les premières manifestations pacifistes qui ont eu lieu en Syrie, vous avez été jetée en prison, puis vous avez pu quitter votre pays. Puis vous y êtes retournée, en 2012 et 2013. Trois fois. Vous l’avez fait pour beaucoup de raisons, bien sûr, mais s’il fallait n’en retenir qu’une, la raison la plus profonde, ce serait quoi? La suite après la publicité En vérité, lorsque je suis revenue, c’est parce que j’étais convaincue que j’allais rester en Syrie. Et à chaque fois que j’y allais, je trouvais que la situation se dégradait, qu’il y avait de plus en plus de bombardements, donc je repartais, mais en me disant la prochaine fois, je vais revenir et rester. Sauf que le temps jouait contre moi et contre la révolution, parce que les djihadistes se faisaient de plus en plus nombreux, la révolution était en train d’être volée, et il y avait toujours les bombardements. C’étaient des bombardements très forts. Je me disais donc que j’allais rester en vivant comme les autres, même si je pouvais mourir comme eux. Mais à cause de mes appartenances familiales, parce que j’étais une personne laïque, je faisais partie de tout un processus, démocratique et non-confessionnel, qu’on essayait d’éliminer. Je ne voulais pas vivre en exil. Mais lorsque j’ai compris que je ne pourrais pas continuer de vivre là-bas, parce que Daech se confirmait sur le terrain, j’ai décidé d’écrire le livre. Votre livre est, entre autres, une enquête sur la manière dont une révolution pacifique s’est transformée en guerre civile. A cet égard, toutes les histoires que vous racontez disent à peu de choses près la même chose nous avons pris les armes parce qu’on attaquait nos femmes et nos enfants. Tout le monde dit ça dans votre livre, qui est absolument accablant pour Bachar Al-Assad. A-t-il pour autant une circonstance atténuante à vos yeux, ou vraiment aucune? Non, absolument rien. J’ai vu de mes propres yeux ce que Bachar faisait aux gens. Que ce soit dans les premiers quatre mois de la révolution que j’ai racontés dans mon autre livre, Feux croisés», ou par la suite, j’ai vu comment les gens mouraient, comme des insectes, sous les bombardements. La responsabilité d’Assad est énorme dans ce qui se passe aujourd’hui en Syrie. Il est responsable en grande partie de la manière dont le terrorisme s’est fabriqué, ce terrorisme dont on souffre et dont vous souffrez aussi, dont le monde entier souffre. Il en est responsable. Lui et ses alliés. Le peuple syrien, qui est aujourd’hui en train d’être décimé, de subir l’équivalent d’un génocide, subit trois formes de despotisme celui de Bachar, celui de la communauté internationale et celui de l’extrémisme suite après la publicité Qu’entendez-vous par despotisme de la communauté internationale»? Il y a des intérêts mondiaux, ceux des Etats-Unis, de l’Europe et de la Russie leurs divergences d’intérêts et leur silence sur les attaques chimiques ont largement contribué à nous mener là où nous en sommes et à fabriquer la terreur. Même si ce n’est pas la seule cause du terrorisme, car il y a bien entendu d’autres raisons. "Nous ne regardons plus les Arabes en face" Vous rendez hommage à l’incroyable héroïsme quotidien» des Syriens qui s’obstinent à faire en sorte que la vie continue», expression qui revient souvent dans le livre. Comment font-ils? Où trouvent-ils cette force? Il y a quelque chose de très troublant dans votre livre c’est la façon dont les gens rient et plaisantent au milieu du chaos. Vous aussi d’ailleurs. Vous le théorisez p. 205 Le rire était leur antidote contre la mort !». La suite après la publicité C’est pour ça que je crois dans le peuple syrien. Quand il y a beaucoup de mort, il y a beaucoup de vie aussi. Quand les gens sentent qu’ils peuvent mourir à n’importe quel moment, ils vivent la vie de la manière la plus profonde et la plus pleine possible. Mais ils meurent tout le temps. Ils sont tout le temps en train de mourir, ils ne peuvent rien faire. Au début, lorsque j’ai fait cette expérience, j’étais terrorisée, et puis j’ai appris avec eux à rire au grondement des avions. Je vais vous raconter quelque chose. C’était une femme, elle avait son mari dans l’ASL, il était combattant. Elle faisait partie du groupe de femmes avec lesquelles j’essayais de monter un projet de développement. Quand je l’ai vue la première fois, elle était enceinte. La deuxième, elle était encore enceinte. Je lui ai demandé comment elle faisait, alors que c’était la guerre et que son mari combattait ; elle m’a répondu que l’amour le plus fort est celui qui se fait en danger de mort. Le rire, l’humour, c’est une manière de se protéger. C’est la meilleure défense parce qu’ils n’ont pas d’autre choix. Mais ça, c’était il y a trois ans. Au bout de cinq ans de guerre, la situation débouche sur une situation de néant, qui elle-même ne laisse plus de place que pour la violence. Tout cela pour dire que la Syrie n’est pas du tout comme on imagine la Syrie c’est Daech et Daech c’est les Syriens, ça n’est pas vrai du tout. La Syrie est occupée par Daech. Nous les Syriens, nous sommes modérés, nous aimons la vie. Les choses ont changé maintenant, mais encore une fois, il faut imaginer que c’est un peuple qui est décimé depuis cinq ans. Vous-même avez fait preuve d’un courage extraordinaire. Il est d’autant plus impressionnant que vous êtes à la fois une femme et une Alaouite, qui s’est trouvée confrontée sur le terrain à des hommes qui en veulent à mort aux Alaouites. Quelle est la situation où vous avez éprouvé la plus grande peur? La suite après la publicité J’avais tout le temps peur. Mais à l’époque je pensais qu’on était en train de construire un pays. La peur, ce n’est pas honteux. C’est quelque chose de très humain, comme l’amour, comme la haine. Mais cette peur ne m’a jamais fait abandonner. Parfois je perdais la foi, l’espoir qu’on puisse un jour construire un pays. Et puis quand je revoyais certaines personnes, ces personnes me rendaient confiance. Du coup, tout disparaissait, la peur, la méfiance, au profit de l’idée que nous étions en train de construire un pays. Mais je vais vous dire quelque chose d’important le fait d’être écrivain m’a beaucoup aidée, ça me permettait d’avoir de l’imagination. Dans les moments difficiles, quand il y avait des bombardements, je mettais toute mon énergie à imaginer la scène la plus spectaculaire, j’utilisais mon imagination pour lutter contre la réalité. C’était fou mais ça m’a aidée. Surtout quand on était sur les lignes de front. Etre romancière m’a aidée, oui. J’essayais d’imaginer quelle était la position la plus héroïque que je pourrais avoir si j’étais en train d’écrire un roman. C’est ça qui me faisait tenir. Un exemple une fois on était sur une ligne de front, il y avait des combattants islamistes, et 200 mètres plus loin se trouvaient les soldats de l’armée. Il y avait une bataille avec des bombardements. Je discutais avec les jeunes combattants. Ils étaient en train de dire Au nom de Dieu, au nom de Dieu, c’est une guerre de religion!» J’ai eu un coup de folie, je leur ai dit Mais non, mais non, ce n’est pas une guerre de religion, c’est une révolution. D’ailleurs je suis alaouite et ce n’est pas Bachar qui va nous séparer !» Evidemment c’était une folie de ma part. Mais le courage dont vous parlez, je ne le voyais pas comme du courage. Je le voyais comme étant mon rôle, comme faisant partie de mon rôle, en tant que citoyenne et en tant qu’intellectuelle devant participer au processus de suite après la publicité Voyage au bout de l'enfer syrien, par Pierre Haski Dans votre prologue, vous dédiez ce livre aux martyrs de la révolution syrienne». Ce prologue se termine par cette phrase J’écris pour vous qui avez été trahis». Vous visez notamment la communauté internationale. Que peut-elle encore faire pour se rattraper? Qu’est-il encore possible de réparer? Comment inverser le cours de l’histoire? La question arrive un peu tardivement, parce que la communauté internationale protège Bachar. Il est trop tard. Mais il faut le présenter à La Haye comme criminel de guerre, voilà, c’est ça qui devrait être fait. Il y a beaucoup de documents qui le condamnent, et qui sont déjà à l’ONU. J’ai très peur de Daech Daech me condamne comme femme, c’est un ennemi universel, c’est l’ennemi du monde entier, c’est la terreur; mais dire que la guerre a lieu entre Bachar et Daech est faux, c’est un discours biaisé. C’est redonner une image luisante à Bachar. Assad dit qu’il protège les minorités, mais pour ne parler que des jeunes Alaouites, tous sont morts à la guerre. Il faut que le monde comprenne il n’y a pas Assad et Daech, Assad fait partie des fabricants du terrorisme. Il y a une guerre religieuse, c’est la réalité désormais; et de même que la Syrie est brisée, c’est un pays qui est détruit. Mais je sais que Assad, son régime et ses alliés font partie de ceux qui nous amenés là. Il a embarqué les jeunes Alaouites dans une guerre qui sert ses intérêts à lui, les intérêts de sa famille et de son suite après la publicité Le manuel d'esclavage sexuel de Daech A la fin du livre, plusieurs personnes estiment que la révolution est devenue une guerre de religions, partie pour durer dix ou vingt ans. Quel espoir gardez-vous? Il faudrait peut-être commencer par faire de petits pas sans braquer les brigades djihadistes telles que Ahrar-al-Cham», notez-vous… Ça, c’était à propos de mon projet pour aider les femmes et les enfants. Pour ne pas provoquer les djihadistes, je ne voulais pas poser d’emblée qu’on était dans un processus de construction démocratique dans les campagnes, donc je voulais y aller par petits pas. Mais à ce sujet, il faut qu’on reconnaisse quelque chose les révolutions arabes nous ont ramenés très loin en arrière. Nous avons fait un immense pas en arrière, en fait. Ça a eu lieu de pair avec le développement d’un extrémisme religieux très ancien, qui est contre la femme. Nous nous battons en tant que femmes contre l’extrémisme religieux, le système patriarcal, le despotisme de Bachar. Mais nous sommes comme dans le roman de Kafka, la Colonie pénitentiaire» nous sommes punies de partout. C’est pour ça que je trouvais important de commencer par travailler pas à pas. Surtout que dans cette sale guerre, les femmes ont été utilisées comme des outils, comme des armes de guerre. Des viols confessionnels ont été suite après la publicité Quand Al-Nosra arrive quelque part, les premières lois édictées concernent les femmes, leur manière de s’habiller, etc. C’est pour prouver leur force. Et le régime aussi a encouragé ses hommes à procéder à des viols confessionnels. Il savait très bien ce qu’il faisait la question de l’honneur est un point extrêmement sensible dans le monde arabe; le viol est un fait politique, c’est considéré comme une honte. Les femmes sont donc punies de partout. Diriez-vous aujourd’hui que, en lançant la révolution, vous aviez sous-estimé le risque de voir l’extrémisme religieux se réveiller? A mon avis, si le régime n’avait pas joué la carte confessionnelle, n’avait pas commencé à tirer les ficelles des appartenances confessionnelles, et si la communauté internationale ne s’était pas tue, on n’en serait pas arrivé là. Mais on peut très certainement dire que la présence des dictatures, pendant un demi-siècle dans le monde arabe, en interdisant les libertés, en favorisant la corruption, en réprimant les forces progressistes de gauche, a participé de l’émergence d’appartenances religieuses. Dans mes pires cauchemars, je ne pensais pas qu’on arriverait à cet extrémisme qu’on a atteint aujourd’hui. Je ne sais pas si ça s’appelle avoir sous-estimé» le risque. Je me demande si on ne devrait pas plutôt parler de la manière dont la communauté internationale fabrique le terrorisme, ou même d’une conséquence du néolibéralisme, qui entretient un certain type de relations entre pays pauvres et pays riches. Tout cela suite après la publicité Ce qui donne une très grande force à votre récit, c’est la manière dont votre propre douleur, sans jamais éclipser celle des autres, sans jamais envahir le livre, imprègne tout le texte. Aviez-vous le projet d’écrire un livre en partant en Syrie? Et comment ce choix du récit à la première personne s’est-il imposé à vous? Non, je n’avais pas le projet de faire un livre, même si j’avais celui de transmettre tous ces témoignages d’une manière ou d’une autre, parce que les médias internationaux ne disaient pas toute la vérité. Surtout qu’à l’époque, des journalistes étrangers commençaient à être enlevés et tués. Donc je me suis dit c’est mon pays, c’est à moi d’y aller. J’envoyais des textes au New York Times» et au Guardian», qui les publiaient. Il n’y avait pas l’idée d’écrire le livre. J’ai voulu qu’il devienne la voix de ceux qui n’en ont pas, ou dont la voix ne porte pas parce qu’ils n’ont pas d’internet, ne peuvent pas passer à la télévision, et peuvent mourir à n’importe quel moment. C’est la voix des victimes. J’ai choisi le je» en tant que romancière, pas en tant que journaliste ou activiste. Il était important que ce soit la romancière qui s’exprime, avec son moi et son œil. Car mon je» à moi fait partie lui aussi de l’histoire de la Syrie. Et mon histoire devait se poursuivre en même temps que les autres histoires que je racontais. Vous dites dans l’épilogue que ce livre a été très difficile à écrire. Est-ce aussi parce qu’il était difficile de trouver une forme pour raconter le néant? Non, comme je vous le disais, utiliser le je» n’était pas difficile. Ce n’est pas le je» qui a posé problème. Il s’est imposé d’emblée. Là où c’était difficile, c’est que contrairement à ce qui se dit en littérature, cette idée que l’écriture nous débarrasse de la douleur, le fait d’écrire ne me libère pas il fait au contraire que je m’approprie toutes ces histoires, qu’elles deviennent une partie de mon sang et de mon être. Ces victimes et ces morts-là deviennent une partie de suite après la publicité ... et le monde arabe chantait Vous faites allusion aux Mille et une nuits», mais aviez-vous par ailleurs un modèle en tête pour vous guider dans l’écriture? La presse anglophone a comparé votre livre à l’Hommage à la Catalogne » d’Orwell, par exemple. Quand j’ai écrit ce livre, je n’avais rien dans la tête. J’ai été très surprise qu’on compare mon livre à celui d’Orwell, que je ne connaissais pas. Je ne connais pas cette littérature-là. Mais mon grand désir était de dire, de restituer la vérité. Je sais qu’au cours de l’histoire, la vérité change, qu’elle varie beaucoup. Ce livre pouvait être un tout petit clou dans le mur, auquel on pourrait accrocher quelque chose, quelque chose qu’on comprend. Je n’ai pas l’illusion qu’une vérité globale existe dans l’histoire. Puis-je vous reposer la question que vous pose l’émir d’al-Nosra ? Votre livre, il va servir à quoi?» p. 258. La suite après la publicité Je vous ferai la même réponse qu’à lui Je veux donner une voix à ceux qui n’en ont pas.» Vous faites actuellement des démarches pour rester en France désormais. Où en êtes-vous? J’ai le statut de réfugié politique. J’ai de la chance, parce que j’ai les moyens matériels de vivre. Ce n’est pas comme la plupart des réfugiés… Mais non, je ne peux pas dire que je souffre en France de ce point de vue. Et pensez-vous parfois retourner en Syrie, pour donner une suite à ce livre? La suite après la publicité J’aimerais beaucoup, mais ça va être difficile. Tous ceux que connais là-bas sont partis, morts, ou ont été enlevés. Et je mettrais en danger ceux que j’irais voir. Je ne suis pas accepté là-bas, confessionnellement. Et en même temps je ne peux pas aller dans les régions contrôlées par Assad, parce que je suis contre Assad. Aucun des deux camps ne me représente. Mais il y a aussi des gens comme moi dont vous n’entendez pas parler, qui vivent là-bas et qui n’ont plus voix au chapitre. Qui sont ces gens qui vous ont hébergée, ceux que vous appelez votre petite famille de Saraqeb»? Ils me connaissaient comme écrivain, on a eu des contacts virtuels, et je connaissais un activiste là-bas. C’était au tout début, on croyait à la révolution, on pensait que ça allait aboutir. Ils sont venus me chercher à la frontière. Ce sont des amis maintenant. Ils ont quitté la Syrie, mais nous sommes encore en contact. Vous savez, Saraqeb est une ville qui a fait la révolution en peignant sur les murs. A chaque fois qu’il y avait un bombardement, les jeunes faisaient des dessins très ensoleillés. La révolution a commencé dans la joie. Ils ont essayé très longtemps de la continuer. Propos recueillis par Grégoire LeménagerTraduits de l’arabe par Hana JaberLa suite après la publicité Syrie “Nous sommes les concierges de la lâcheté. Nous n'accueillons personne”, par Mathias Enard Les 1ères pages des "Portes du néant" de Samar Yazbek Décoration Envie de changer la déco de votre chambre, de votre salon, voir, de toute votre maison ? Ou alors, d’offrir à votre copine Cléo un objet déco original pour son premier appart ? N’attendez plus, les meilleurs objets déco se trouvent chez l’avant gardiste ! De la petite déco originale à de la décoration insolite, on a pensé à tout, pour tous les budgets et pour tous les goûts ! 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Le nutritionniste islandais Krist Gunnars signale sur son site 20 raisons fréquentes qui expliquent ce phénomène. [1] Vous trouverez aussi ci-dessous ses conseils précieux pour franchir le plafond de verre et continuer les progrès. 1 Peut-être perdez-vous du poids sans vous en apercevoir Si vous avez l’impression d’avoir atteint un plafond de verre, et de ne plus parvenir à perdre plus de poids, peut-être avez-vous simplement besoin de vous relaxer. Il est extrêmement fréquent que la balance se stabilise quelques jours ou semaines. Cela ne veut PAS dire que vous avez arrêté de perdre de la graisse. Le poids du corps a tendance à fluctuer de quelques kilos d’un coup. Cela dépend de votre alimentation et de vos hormones, qui ont un puissant effet sur la quantité d’eau dans votre corps surtout chez les femmes. Si vous faites du sport pour mincir, il est aussi possible que vous soyez en train d’acquérir de la masse musculaire. Le phénomène est particulièrement fort après les premières séances, quand on reprend l’exercice régulier. Les os aussi, se renforcent. Ils deviennent plus denses, et donc aussi plus lourds. Ce sont de bonnes choses car le but est de perdre du gras, pas seulement du poids. Il est donc conseillé de ne pas seulement utiliser la balance pour mesurer vos progrès. N’oubliez pas de mesurer aussi votre tour de taille et votre tour de cuisse, et de vous peser une fois par mois avec une balance qui calcule votre teneur en muscles, en graisse et en os. Autre chose la façon dont vos vêtements s’ajustent et votre impression en vous regardant dans le miroir sont de très bonnes indications. Cela peut évoluer favorablement alors même que votre poids est stable. C’est bien alors votre corps qui s’améliore. Moralité, à moins d’être bloquée sur le même poids depuis au moins 2 semaines, vous n’avez sans doute pas à vous inquiéter de quoi que ce soit. 2 Vous n’enregistrez pas ce que vous avez mangé La prise de conscience de ce qu’on mange est extrêmement importante lorsque vous essayez de perdre du poids. Beaucoup de personnes n’ont aucune idée de ce qu’elles mangent vraiment. Les études montrent que noter ce que vous avez mangé aide à perdre du poids. Il ne s’agit pas de compter les calories ni même de peser votre nourriture. Avant de commencer votre assiette, mettez sur votre table tout ce que vous comptez manger et prenez-en une photo avec votre smartphone. Si vous ne pouvez pas vous empêcher de grignoter hors des repas ou si des petits snacks sains comme des carottes ou une poignée d’amandes font partie de votre mode de vie sain pour maigrir, prenez-en aussi une photo. Gardez cette habitude avant de mettre quoi que ce soit dans votre bouche, y compris les boissons sauf l’eau car elles sont caloriques, parfois très caloriques jus de fruit, alcool. Elles agissent sur l’appétit même quand elles sont à zéro pourcent. Vous pouvez aussi bien sûr noter ce que vous mangez dans un carnet. Les études montrent que le simple fait de noter ou photographier ce qu’on mange fait maigrir plus vite, car vous suivez beaucoup mieux ce que vous absorbez. Et si votre balance ne veut plus descendre, repassez-vous le film de tout ce que vous avez mangé ces quinze derniers jours. Peut-être ne serez-vous pas finalement si étonné de n’avoir pas plus perdu de kilos. 1, 2. Vous appréciez cet article ? Je vous invite à vous inscrire gratuitement à la Lettre Santé Nature Innovation. ✓ Désabonnement à tout moment. 3 Vous ne mangez pas assez de protéines Les protéines sont le nutriment le plus important pour perdre du poids. Manger 20 à 30 % de protéines peut augmenter la consommation d’énergie de 80 à 100 calories par jour ; de plus, automatiquement, vous mangerez plusieurs centaines de calories en moins par jour. Cela réduit aussi fortement les fringales et le désir de malbouffe. 3, 4, 5, 6, 7. Cela s’explique par l’effet des protéines sur les hormones qui régulent l’appétit, comme la ghréline. 8, 9. Si vous avez l’habitude de petit-déjeuner, profitez-en pour consommer beaucoup de protéines à cette occasion. Le traditionnel petit-déjeuner anglais à base d’œufs, de lard et de haricots blancs riches en protéines végétales est idéal de ce point de vue. Vous avez aussi la garantie de n’avoir aucun creux durant la matinée, et il est même probable que vous aurez à peine envie de manger à midi traditionnellement, les Anglais n’avaient pas de déjeuner de midi, d’où l’habitude en revanche du thé à quatre heures et demie Tea time ! ». 10 Manger beaucoup de protéines permet d’éviter le ralentissement du métabolisme, un effet indésirable fréquent de la perte de poids. Cela aide également à éviter de regagner du poids. 11, 12, 13. 4 Vous mangez trop de calories La stagnation peut avoir une cause simple vous mangez tout simplement trop de calories. Je ne recommande pas de compter vos calories pour maigrir. Par contre, il est important d’avoir une notion générale du sujet, autrement dit être capable d’estimer en gros combien on mange de calories par jour. Une fois par mois, donc, vous pouvez calculer pendant 3 jours le nombre de calories que vous avez mangé. Vous aurez ainsi l’intuition de ce quoi vous devez vous en tenir le reste du temps. Il existe de nombreux calculateurs de calories gratuits en ligne sur Internet. 5 Vous ne mangez pas sain La qualité de la nourriture est aussi importante que la quantité. Manger sain améliore la santé et régule l’appétit. Les aliments sains ont tendance à rassasier plus vite que la malbouffe, à calories égales. Rappelez-vous que de nombreux produits industriels étiquetés bio » ne sont pas sains. Essayez de ne mettre dans votre assiette que des aliments simples et aussi proches que possible de leur forme d’origine. 6 Vous n’utilisez pas vos muscles Il est important de faire travailler vos muscles d’une façon ou d’une autre, sans quoi votre régime vous fera perdre votre précieuse masse musculaire, en même temps que vous perdrez vos excès de graisse. 17 La musculation en particulier permet d’éviter le ralentissement du métabolisme, et vous garantit que votre corps est vraiment sain 18. 7 Vous craquez trop souvent même sur des aliments sains En période de régime, il est fréquent d’avoir envie de craquer », ce qui consiste à manger très vite de grandes quantités de nourriture, bien supérieures aux besoins du corps. C’est un problème important. Le pire est de craquer » sur des aliments malsains chips, Nutella mais craquer sur les noix, amandes, le fromage ou le chocolat noir est terrible également. Une seule séance de boulimie peut ruiner une semaine entière d’efforts bien équilibrés. 8 Vous ne faites pas d’endurance Les sports d’endurance ont acquis une mauvaise réputation ces dernières années, mais il n’empêche que la marche, la natation et la course à pied restent les moyens les plus efficaces de perdre de la graisse viscérale. La graisse viscérale est celle qui s’accumule dans le ventre, autour des organes de l’abdomen. C’est la plus dangereuse, la plus mauvaise pour la santé. Vous en débarrasser est un des moyens les plus efficaces d’améliorer votre santé 19, 20. 9 Vous buvez encore du sucre Les boissons sucrées sont le pire aliment pour grossir dans nos magasins. Notre cerveau ne réagit pas aux calories contenues dans les boissons sucrées pour nous faire manger moins des autres aliments. 21, 22. Ce n’est pas seulement vrai des boissons sucrées comme le Coca ou l’Orangina. Cela s’applique aussi aux boissons énergétiques et vitaminées comme Vitaminwater qui sont bourrées de sucre. Même les jus de fruits posent problème. Ils ne doivent jamais être consommés en grande quantité. Un seul verre contient autant de sucre que plusieurs fruits à moins de ne se presser qu’une orange, ou une pomme, ce qui ne fait pas grand chose à boire. 10 Vous dormez mal Mal dormir prive d’énergie. Le corps et le cerveau cherchent alors à compenser par l’apport de calories supplémentaires, surtout sous forme de sucre. Un bon sommeil est une des choses les plus importantes à rechercher pour votre santé physique et mentale, ainsi que pour votre ligne. Les études montrent que le mauvais sommeil est un des principaux facteurs de risque d’obésité. Le adultes et les enfants qui dorment mal ont 55 % et 89 % de risque supplémentaire de devenir obèses, respectivement. 23. 11 Vous n’avez pas assez réduit les glucides Si vous avez beaucoup de poids à perdre, ou si vous avez des problèmes métaboliques comme le diabète ou le prédiabète, alors vous devriez envisager un régime pauvre en glucides. Dans les études de court-terme, ce type de régime a montré qu’il faisait perdre deux à trois fois plus de poids que le régime classique pauvre en graisse qui est en général recommandé 24, 25. 12 Vous mangez trop souvent C’est un mythe qu’il faudrait manger de nombreux, mais légers, repas au cours de la journée pour accélérer le métabolisme et perdre du poids. Les études montrent en fait que la fréquence des repas a peu ou pas d’effet pour brûler la graisse ou perdre du poids. 30, 31. Il est aussi compliqué et consommateur de temps de préparer et manger de la nourriture constamment. Cela rend l’art de manger sain bien plus compliqué. Au contraire, le jeûne intermittent est une méthode extrêmement efficace pour maigrir. Le gain de temps est étonnant, de n’avoir ni à préparer, ni à manger, ni à nettoyer son repas. Cela consiste à éviter de manger sur des périodes précises allant de 15 à 24 heures ou plus. Vous trouverez des informations à ce sujet dans cette lettre sur le jeûne. 13 Vous ne buvez pas assez d’eau Boire de l’eau peut aider à perdre du poids. Dans une étude sur douze semaines, les personnes qui ont bu un demi-litre d’eau une demi-heure avant chaque repas ont perdu 44 % de poids de plus que les autres. 32. Il a aussi été montré que boire de l’eau augmente la quantité de calories de 24 à 30 % sur une période d’une heure et demie. 33, 34. 14 Vous buvez trop d’alcool Si vous aimez l’alcool et voulez perdre du poids, il vaut mieux boire une eau de vie mélangée à une boisson non calorique. La bière, le vin et les boissons sucrées alcoolisées sont très riches en calories. Les cocktails sont les pires de toutes. Souvenez-vous aussi que l’alcool lui-même contient 7 calories par gramme, ce qui est énorme. Ceci dit, les études sur l’alcool et le poids sont contradictoires. Boire de façon modérée semble ne pas poser problème, tandis que l’alcoolisme et les fortes consommations d’alcool sont corrélées à la prise de poids.35. 15 Vous ne mangez pas en pleine conscience Une technique appelée l’alimentation en pleine conscience » pourrait être un des outils les plus puissants du monde pour perdre du poids. Cela implique de s’arrêter, de s’asseoir à table, de méditer au moins 30 secondes avant de commencer à manger, de savourer chaque bouchée, tout en se mettant à l’écoute des signes naturels qui disent à votre cerveau que vous avez assez mangé. De nombreuses études ont montré que manger en pleine conscience peut entraîner une perte de poids significative 36, 37 et réduire les épisodes de boulimie 38, 39. Voici quelques trucs pour manger en pleine conscience Mangez avez zéro distractions, juste vous et votre nourriture, assis à une table ; Mangez doucement et mâchez soigneusement. Essayer de prendre conscience des couleurs, des odeurs et des textures ; Lorsque vous ressentez les signaux de la satiété, buvez un grand verre d’eau et arrêtez de manger. 16 Vous avez un problème médical qui complique les choses Certains problèmes médicaux peuvent influencer la prise de poids et rendre bien plus difficile de maigrir. Cela inclut l’hypothyroïdie, le syndrome des ovaires polykystiques, et l’apnée du sommeil. Certains médicaments également rendent plus difficile de mincir, ou peuvent même faire grossir. Si vous pensez que c’est votre cas, abordez le problème avec votre médecin. 17 Vous êtes accro à la malbouffe Selon une étude de 2014, environ 19,9 % des gens correspondent au critère de l’addiction à la malbouffe. 40. Les personnes qui ont ce problème de malbouffe sont dans une situation semblable aux drogués. 41. Si vous êtes accro à la malbouffe, moins manger ou changer de régime peut paraître absolument impossible. Dans ce cas, faites-vous aider programme Mincir Naturellement. 18 Vous vous êtes trop privé trop longtemps Ce n’est pas forcément une bonne idée de faire un régime trop longtemps. Si vous avez perdu du poids pendant plusieurs mois d’affilée et que vous avez atteint un plafond de verre, alors peut-être avez-vous simplement besoin d’une pause. Augmentez votre apport de calories de quelques centaines par jour, dormez plus et faites de la musculation dans le but de gagner de la force et d’avoir un peu plus de muscles. Visez le maintien de votre masse grasse pendant un à deux mois avant de commencer à essayer de perdre à nouveau du poids. 19 Vos attentes sont irréalistes Mincir est un processus généralement beaucoup plus lent que la plupart des gens ne le pensent. Bien qu’il soit souvent possible de perdre beaucoup de poids au début, très peu de personnes continuent à maigrir au rythme de 0,5 à 1 kg par semaine. Un autre problème majeur est que beaucoup de personnes ont des attentes irréalistes sur ce qu’il est possible d’atteindre avec un régime sain et de l’exercice. Le fait est que tout le monde ne peut pas ressembler à un mannequin ni à un bodybuilder. Les photos que vous voyez dans les magazines et sur les affiches sont presque toujours améliorées avec Photoshop – personne littéralement ne ressemble à ça. Si vous avez déjà perdu du poids et que vous vous sentez bien dans votre peau, mais que la balance ne semble pas vouloir bouger plus loin, peut-être devriez-vous commencer à travailler à accepter votre corps comme il est. Il y a un point où votre poids va atteindre un niveau qui correspond à la zone de confort de votre corps. Essayer d’aller au-delà ne vaut pas la peine, et peut même être impossible pour vous. 20 Vous êtes trop obsédé par le régime Les régimes ne marchent presque jamais sur le long terme. Quoi qu’il en soit, les études montrent en fait que les personnes qui font des régimes prennent plus de poids sur le long terme. 42. Plutôt que d’aborder le problème sous l’angle du régime, votre premier but pourrait plutôt être de devenir une personne plus heureuse, en meilleure santé, et en meilleure forme. Travaillez à nourrir votre corps plutôt que de lui infliger des privations, et faites que la perte de poids soit un effet secondaire naturel et bienvenu ! Sources de cet article [1] 20 Common Reasons Why You’re Not Losing Weight

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