Leplus grand malheur des hommes est de se croire supĂ©rieurs aux autres. 7. Citation d'internaute. Casharel Nth. Penseur, MĂ©ditation, Sport, Voyage, Cameroun, Edea, 1990 Citation Autres & Malheur. La philosophie nous apprend Ă  supporter sereinement le malheur des autres. 8. Citation de cĂ©lĂ©britĂ©. Oscar Wilde. Artiste, Ă©crivain (1854 - 1900) Citation Femme & PourPorphyre, l'homme ne peut prouver que les animaux ne parlent pas et d'autre part, ceux qui ont de la familiaritĂ© avec les animaux n'ont pas de difficultĂ©s Ă  communiquer avec eux, ce qui montre que les entendements humain et animal se ressemblent. Oswald cite Porphyre, mais il prĂ©fĂšre exalter la maniĂšre des animaux de communiquer, sans langage, les expressions de Mieuxvaut chercher un refuge en l'Eternel Que de se confier aux grands. Psaumes 118:8-9 / LSG. Mieux vaut chercher un refuge en l'Eternel Que de se confier Ă  l'homme; Mieux vaut chercher un refuge en l'Eternel Que de se confier aux grands. Galates 6:3 / LSG. Si quelqu'un pense ĂȘtre quelque chose, quoiqu'il ne soit rien, il s'abuse lui-mĂȘme. Intervenuesur un sujet d'actualitĂ© en CĂŽte d'Ivoire, le vendredi 10 juillet 2020, Patricia Kalou l'une des filles de feu Kalou Paul, ex-agent Ă  la Sotra a envahi la toile. Relatant son histoire, Patricia Kalou a confiĂ© Ă  linfodrome qu'elle a perdu son mari, le pĂšre de ses 04 enfants. MĂšre cĂ©libataire de 04 enfants, Patricia Kalou est Ilse confie Ă  vous. On le sait, la confiance est essentielle dans un couple. Comment savoir si l’autre se sent en sĂ©curitĂ© au sein de la relation ? Le fait qu’il se confie sur sa vie, son JĂ©suset l'homme qui avait la main sĂšche - Marc 3:1-6. (Mc 3:1-6) "JĂ©sus entra de nouveau dans la synagogue. Il s'y trouavit un homme qui avait la main sĂšche. Ils observaient JĂ©sus, pour voir s'il le guĂ©rirait le jour du sabbatÂŽ: c'Ă©tait afin de pouvoir l'accuser. Et JĂ©sus dit Ă  l'homme qui avait la main sĂšche: lĂšve-toi, lĂ  au milieu. Aujourdhui, tout repose sur l’homme qui a rejetĂ© Dieu comme point d’appui. «Malheur Ă  l’homme» «Ainsi parle l’Éternel: maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, qui prend la chair pour son appui, et qui dĂ©tourne son cƓur de l’Éternel! Il est comme un misĂ©rable dans le dĂ©sert, et il ne voit point arriver le 46views, 2 likes, 0 loves, 0 comments, 0 shares. video created by Ki sa la Bib di?: 46 views, 2 likes, 0 loves, 0 comments, 0 shares, Facebook Watch Videos from Ki EnvĂ©ritĂ©, Dieu a créé l’homme et, avant de le rappeler Ă  Lui, Il Ă©prouve ses capacitĂ©s spirituelles, son sens de la justice, ses activitĂ©s sociales en lui faisant subir des tests oĂč se mĂȘlent le bonheur et le malheur, la joie et la peine, et des moyens salutaires et des tentatives trompeuses. L’ĂȘtre humain assure son progrĂšs en remettant en cause, d’une Lelendemain, Josaphat dit au peuple: ‘Confiez- vous en JĂ©hovah.’. Il plaça alors en tĂȘte de son armĂ©e des chanteurs, qui entonnĂšrent les louanges de Dieu. Quand la troupe approcha du lieu de l’affrontement, JĂ©hovah jeta la confusion dans les rangs des agresseurs, qui se battirent entre eux. À leur arrivĂ©e, les IsraĂ©lites ne Hy38Nlk. 1 À l’homme les projets du cƓur, Mais de l’Éternel la rĂ©ponse de la langue. 2 Toutes les voies d’un homme sont pures Ă  ses yeux, Mais l’Éternel pĂšse les cƓurs. 3 Remets tes affaires Ă  l’Éternel, Et tes desseins seront affermis. 4 L’Éternel a fait toute chose en vue d’un but ; Ainsi le mĂ©chant pour le jour du malheur. 5 Tout cƓur hautain est en abomination Ă  l’Éternel. Certainement il ne demeurera point impuni. 6 Par la misĂ©ricorde et la fidĂ©litĂ© la faute est expiĂ©e, Et par la crainte de l’Éternel on se dĂ©tourne du mal 7 Quand l’Éternel prend plaisir aux voies d’un homme, Il fait que ses ennemis mĂȘmes ont la paix avec lui. 8 Mieux vaut peu, avec la justice, Que de grands revenus sans bon droit. 9 Le cƓur de l’homme mĂ©dite sa voie, Mais c’est l’Éternel qui dirige ses pas. 10 L’oracle est sur les lĂšvres du roi ; Quand il juge, que sa bouche ne soit pas infidĂšle ! 11 Une balance et des plateaux justes sont Ă  l’Éternel ; Tous les poids du sac sont son Ɠuvre. 12 Les rois ont en abomination de faire le mal, Car c’est par la justice que le trĂŽne est affermi. 13 Les rois prennent plaisir aux lĂšvres justes Et aiment qui profĂšre la droiture. 14 La fureur du roi est un messager de mort, Mais l’homme sage l’apaisera. 15 Quand brille le visage du roi, c’est la vie ; Sa faveur est comme une pluie de printemps. 16 AcquĂ©rir la sagesse, combien c’est meilleur que l’or pur, Et acquĂ©rir l’intelligence, meilleur que l’argent ! 17 La route des hommes droits, c’est de se dĂ©tourner du mal ; Il garde son Ăąme, celui qui prend garde Ă  sa voie. 18 L’orgueil va devant l’écrasement, Et la fiertĂ© d’esprit devant la chute. 19 Mieux vaut ĂȘtre humble avec les dĂ©bonnaires, Que de partager le butin avec les orgueilleux. 20 Qui fait attention Ă  la parole trouve le bonheur ; Heureux qui se confie en l’Éternel ! 21 On appelle intelligent l’homme sage de cƓur, Et la douceur du langage augmente l’instruction. 22 Le bon sens est, pour qui le possĂšde, une source de vie, Mais le chĂątiment des sots, c’est la sottise. 23 Le cƓur du sage rend sa bouche sensĂ©e Et, sur ses lĂšvres, accroĂźt l’instruction. 24 Les paroles bienveillantes sont un rayon de miel, Douces Ă  l’ñme, salutaires aux os. 25 Tel chemin semble droit Ă  l’homme, Dont l’issue aboutit Ă  la mort. 26 La faim du travailleur travaille pour lui, Car sa bouche l’y contraint. 27 L’homme inique prĂ©pare le malheur, Et, sur ses lĂšvres, il y a comme un feu dĂ©vorant. 28 L’homme pervers sĂšme les querelles, Et le rapporteur divise les amis. 29 L’homme violent sĂ©duit son prochain Et lui fait prendre un chemin qui n’est pas bon. 30 Celui qui ferme les yeux pour mĂ©diter la perversitĂ©, Celui qui serre les lĂšvres, a [dĂ©jĂ ] consommĂ© le mal. 31 Les cheveux blancs sont une couronne d’honneur ; Elle se trouve sur la voie de la justice. 32 L’homme lent Ă  la colĂšre vaut mieux que l’homme vaillant, Et celui qui commande Ă  son cƓur, mieux que celui qui prend des villes. 33 On jette le sort dans les replis de la robe, Mais de l’Éternel vient toute dĂ©cision. ActualitĂ©s-journal protestant - Non classĂ© - BĂ©ni soit l’homme qui se confie en l’Eternel ! DurĂ©e de lecture 3 minute s 5-15AccĂšs PayantJĂ©rĂ©mie 17MĂ©ditation RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 15 novembre 2007 Mise Ă  jour le 15/11 Par Samuel Sahagian JE M'ABONNE Celui dont l’Eternel est l’espĂ©rance trouve un sens et une joie Ă  chaque instant de sa vie. » Quel est le fondement de ma vie ? Si soudain tout devait s’effondrer autour de moi, quelle est la certitude que je garderais ? Si ma vie devait s’arrĂȘter dans une heure, et que je fasse un bilan personnel, qu’est-ce qui apparaĂźtrait Ă  mes yeux comme ayant Ă©tĂ© fondamental dans mon existence ? Autrement dit, en quoi ou en qui ai-je mis ma confiance ? Quoi, ou qui est mon espĂ©rance ? Pour le prophĂšte JĂ©rĂ©mie, la rĂ©ponse est claire BĂ©ni soit l’homme qui se confie en l’Eternel, et dont l’Eternel est l’espĂ©rance ! » Mais JĂ©rĂ©mie dit aussi Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, qui prend la chair pour son appui, et qui dĂ©tourne son cƓur de l’Eternel ! » Dans le cas de l’homme repliĂ© sur lui-mĂȘme, sur sa personne, sur sa chair, sur son corps et sur ses problĂšmes de santĂ©,... Pour lire la suite de cet article vous devez ĂȘtre abonnĂ© JE M'ABONNE À PARTIR DE 5 € Si vous ĂȘtes dĂ©jĂ  abonnĂ© Offre dĂ©couverte - accĂšs gratuit par email Articles Ă  dĂ©couvrirPardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi Ă  ceux qui nous ont offensĂ©s. » La traduction exacte serait Remets-nous nos dettes, comme nous remettons aussi Ă  ceux qui nous doivent. » JĂ©sus nous a appris Ă  appeler Dieu Abba, PĂšre, et nous pouvons prier aujourd’hui Notre PĂšre, remets-nous nos dettes. » Pardonne-nous ce que nous te devons. Nous te devons tout. Notre dette est immense. Tu nous as donnĂ© la vie. Nous sommes en dette envers toi, car nous sommes en dette envers les frĂšres humains que tu nous as donnĂ©s et que nous n’avons pas aimĂ©s. En qui nous n’avons pas reconnu ton image J’avais faim, et vous ne m’avez pas donnĂ© Ă  manger », dit JĂ©sus en Matthieu d’amour, pardonne-nous nos dettes d’amour. Pardonne-nous nos pĂ©chĂ©s. Cette demande de pardon ne signifie pas la mĂȘme chose selon que nous comprenons nos pĂ©chĂ©s comme offenses Ă  Dieu », ou dettes envers Dieu ». Dieu n’a pas Ă  nous pardonner pour s’apaiser lui-mĂȘme, pour calmer sa colĂšre, parce qu’il se sentirait offensĂ© par nous. C’est de nous qu’il s’agit ici Remets-nous nos dettes », et nous serons dĂ©livrĂ©s, graciĂ©s, Dieu crĂ©ateur me donne des forces nouvelles pour vivre et pour aimer. En confessant mon manque, en confessant mon pĂ©chĂ©, mon angoisse comme Job, j’ai criĂ© vers Dieu pour l’appeler au secours contre ma mort. La vie commençait Ă  me quitter dĂ©jĂ . J’étais dans une angoisse mortelle. Demander Ă  Dieu son pardon, lui confesser nos pĂ©chĂ©s, loin d’ĂȘtre un acte morbide qui nous enfoncerait encore plus dans la culpabilisation, est au contraire une vraie priĂšre, c’est-Ă -dire un acte d’espĂ©rance, le dĂ©but d’une guĂ©rison. Son pardon nous fait entrer dans le festin du Royaume de l’amour de Dieu. Et la joie commence. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos dettes. » Nous pouvons dĂ©jĂ  partager le pain de ce jour, le pain du Royaume. Nous pouvons dĂ©jĂ  partager le pardon de ce jour, le pardon du Royaume. Comme le pain, le pardon de Dieu est signe du Royaume qui vient sur terre parmi nous, dans notre vie, dĂšs aujourd’hui. Et, comme le pain, nous ne pouvons recevoir le pardon que pour le partager, que si nous le pardon de Dieu a prĂ©cĂ©dĂ©, bien sĂ»r, toutes nos histoires de pardons humains. Mais notre guĂ©rison ne sera affermie et totale que quand nous aurons pardonnĂ© nous aussi Ă  nos frĂšres. Nous avons tout reçu gratuitement. Mais nous pouvons encore perdre ce tout, si nous ne le partageons pas. Je prierai moi aussi aujourd’hui Que ton pardon m’apprenne Ă  pardonner. » Je sais que c’est du PĂšre que je reçois le pain, le pardon, la dĂ©livrance du mal. Tout la gloire lui appartient. A Dieu seul la gloire ! Oui, je prierai le Notre PĂšre moi aussi Notre PĂšre qui es aux cieux
 Remets-nous nos dettes, comme nous remettons nous aussi Ă  ceux qui nous doivent. Et ne nous soumets pas Ă  la tentation, mais dĂ©livre-nous du Mal. Car c’est Ă  toi qu’appartiennent le rĂšgne, la puissance et la gloire pour les siĂšcles des siĂšcles. » Remets-nous nos dettes, comme nous remettons aussi Ă  ceux qui nous doivent. » Pardonne-nous nos offenses Remets-nous nos dettes, comme nous remettons aussi Ă  ceux qui nous doivent. »Video REFORME DE L'EGLISE - Shora kuetu Ă  tĂ©lĂ© CongoPĂšre, nous avons priĂ© d’abord pour que ton RĂšgne vienne. Parce que nous sommes tes enfants. Nous sommes vraiment fils. Nous choisissons le RĂšgne de l’Amour plutĂŽt que le RĂšgne de l’Argent. Mais nous avons bien besoin d’un peu de pain, tout de mĂȘme Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. » Aujourd’hui, nous exprimons Ă  Dieu nos besoins immĂ©diats, concrets. Nous avons vraiment besoin de pain pour vivre. Nous avons besoin de pardon pour ne pas dĂ©sespĂ©rer. Le pain symbolise ici la nourriture simple, quotidienne, indispensable de l’ Luther a raison de dire, dans son Grand CatĂ©chisme, que le pain de ce jour, cela signifie toutes les choses nĂ©cessaires Ă  l’entretien de cette vie. Et il cite, entre autres, la nourriture, le vĂȘtement, la demeure, la santĂ©, la terre qu’on cultive, la famille, la profession, l’amitiĂ©, un gouvernement sage et fort pour diriger le pays. Toutes ces choses, dit Luther, sont des dons de Dieu, et nous devons le prier de nous les accorder. »Dieu nous a créés hommes, avec nos besoins, nos manques, nos misĂšres, sujets Ă  la faim et Ă  la soif, Ă  la fatigue et Ă  la maladie. Et c’est bien cette vie humaine fragile et menacĂ©e que JĂ©sus a vĂ©cue il a eu faim au dĂ©sert, il a Ă©tĂ© fatiguĂ© par ses marches, il a connu l’angoisse Ă  GethsĂ©manĂ© et sur la croix, il a eu soif au puits de Jacob Ă  l’heure de midi. Il sait ce que veut dire cette priĂšre Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. » Il sait que le pain des hommes, c’est Ă  la fois ce qu’ils demandent Ă  Dieu dans leur priĂšre, et ce qui est le fruit de leur travail, de leur fatigue, de leurs efforts.Video CULTE DU SAMEDI 20 AOÛT 2022 AVEC PAPA FLORIENTEt c’est aussi pour cela qu’il nous demande de dire la priĂšre du pain au pluriel. Donne-nous aujourd’hui notre » pain de ce jour. Pas mon » pain. Manger signifie bien plus que se nourrir. C’est un acte social, un acte communautaire, un acte de communion. L’homme se met Ă  table pour manger. Et si possible avec les autres. Le pain que nous demandons Ă  Dieu est le rĂ©sultat du travail des hommes, parfois dans la peine et l’exploitation, dans la sueur et les larmes, mais aussi, heureusement, souvent dans la fraternitĂ© et le y a un lien entre la priĂšre pour le RĂšgne de Dieu, RĂšgne de justice et d’amour, et la priĂšre pour le pain, qui est Ă  la fois notre pain ordinaire et le pain du Royaume. On retrouve cela dans le rĂ©cit Ă©vangĂ©lique de la multiplication des pains. Le miracle a lieu parce qu’il y a eu partage et solidaritĂ©. La justice du Royaume de Dieu, c’est aussi le partage du pain. Notre pain, c’est mon pain, mais aussi le pain des autres, ce pain qui se multiplie quand il est partagĂ©. Le Royaume de Dieu est souvent dĂ©crit par JĂ©sus, dans les Evangiles, comme un banquet, un festin, un repas joyeux pris en commun. En demandant Ă  Dieu, dans le Notre PĂšre, de nous donner aujourd’hui notre pain de ce jour, comment ne pas penser Ă  cette autre parole de JĂ©sus en Matthieu 25 J’ai eu faim, et vous m’avez donnĂ© Ă  manger [
] car tout ce que vous avez fait Ă  l’un de ces plus petits de mes frĂšres, c’est Ă  moi que vous l’avez fait. » ? Oui, PĂšre, donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour ». de ce jour/. Dans beaucoup de textes de l’Ancien Testament, le pain est associĂ©, comme don de Dieu, Ă  d’autres biens nĂ©cessaires. L’Eternel donne du pain aux affamĂ©s. Il garde les Ă©trangers. Il soutient l’orphelin et la veuve. L’Eternel rĂšgnera Ă©ternellement. » Psaume 146. Il y a aussi, comme dans le Notre PĂšre, une priĂšre pour le pain Ne me donne ni pauvretĂ© ni richesse. Accorde-moi le pain qui m’est nĂ©cessaire. » Proverbes 30.L’expression pain quotidien ou pain de ce jour dans le Notre PĂšre est la traduction de l’adjectif grec Ă©piousios,unique, dans le Nouveau Testament, qui peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© soit comme le pain nĂ©cessaire Ă  notre survie, Ă  notre subsistance, soit, comme certains l’ont interprĂ©tĂ©, comme le pain du lendemain du verbe Ă©piĂ©nai, aller vers, Ă  la suite, le pain de l’avenir, c’est-Ă -dire le pain rĂ©servĂ© aux Ă©lus dans le repas du Royaume de Dieu, Ă©voquĂ© dans cette parole dite Ă  JĂ©sus par un de ceux qui Ă©taient Ă  table avec lui Heureux celui qui prendra son repas dans le royaume de Dieu ! » Lc 14,15.S. Mon pain, mais aussi le pain des autres, ce pain qui se multiplie quand il est partagĂ©. » Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour Mon pain, mais aussi le pain des autres, ce pain qui se multiplie quand il est partagĂ©. »La priĂšre du Notre PĂšre nous engage dĂšs les premiĂšres demandes Ă  prier, comme disait Luther, pour que nous conformions saintement notre vie Ă  la parole de Dieu, comme des enfants de Dieu ». Nous voici totalement engagĂ©s auprĂšs de notre PĂšre, avec les trois premiĂšres demandes Que ton nom soit sanctifiĂ©, que ton rĂšgne vienne, que ta volontĂ© soit faite sur la terre comme au ciel. » Nos besoins humains immĂ©diats et quotidiens du pain et du pardon demandĂ©s viendront dans la deuxiĂšme partie de notre priĂšre, dans les requĂȘtes finales du Notre PĂšre. Si Dieu est votre PĂšre, et si vous ĂȘtes fils, nous dit JĂ©sus, c’est la sanctification de son nom de PĂšre, la recherche de son rĂšgne parmi vous, et la rĂ©alisation de sa volontĂ© que vous mettrez au cƓur de votre priĂšre premiĂšre, de votre premiĂšre le RĂšgne, ensuite le pain Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et sa justice, et tout cela vous sera donnĂ© par-dessus », nous dit JĂ©sus dans la suite du Sermon sur la montagne, en parlant de nos inquiĂ©tudes pour notre vie ». DĂ©barrassons-nous de toute inquiĂ©tude, qui est manque de foi, manque de confiance en l’amour de Dieu, contradiction avec notre premiĂšre invocation Abba, notre PĂšre qui es aux cieux. » DĂ©barrassons-nous de cette idolĂątrie perverse, de cette puissance que nous laissons si facilement prendre Ă  l’Argent dans notre vie, au dieu Mammon. Vous ne pouvez servir deux maĂźtres. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent », nous dit JĂ©sus. Il nous faut choisir ou le rĂšgne de Dieu, ou le rĂšgne de l’ ton RĂšgne vienne, que ta volontĂ© soit faite sur la terre, ici, maintenant, que ton nom de PĂšre soit sanctifiĂ©, privilĂ©giĂ©, et non les calculs intĂ©ressĂ©s, les lĂąchetĂ©s, les cruautĂ©s, les peurs qui engendrent la mort. Je reconnais, PĂšre, que c’est toi qui es roi, et pas Satan, qui veut ĂȘtre et qui continue d’ĂȘtre, par nos lĂąchetĂ©s et nos peurs, le Prince de ce monde. Le Royaume de Dieu et sa justice », disait JĂ©sus. Le mot justice accolĂ© au mot RĂšgne est important ici. La justice de Dieu, c’est aussi le respect des pauvres, l’amour des plus petits de nos frĂšres, de la veuve, de l’orphelin, de l’étranger parmi nous. La volontĂ© de Dieu pour nous, sur la terre, c’est le partage de notre argent, de notre pain, de nos biens, de nos maisons avec les plus pauvres. Que ton rĂšgne vienne », c’est prier pour que Dieu soit roi. Pas l’Argent, pas Mammon, pas Satan. Retire-toi, Satan », avait dit JĂ©sus dans la tentation au dĂ©sert, car il est Ă©crit tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et Ă  lui seul tu rendras un culte ».Avec cette priĂšre sur la venue du RĂšgne, et sur la rĂ©alisation de la volontĂ© de Dieu sur la terre comme au ciel, JĂ©sus apportait une rĂ©volution. Ce fut un scandale quand il commença Ă  prĂȘcher et Ă  dire Le Royaume de Dieu s’est approchĂ© de vous. » Il dit mĂȘme, en Luc 17 Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous, ou parmi vous. » Le scandale, c’est cet aujourd’hui, oĂč JĂ©sus se place au centre du Royaume de Dieu. Et il nous place nous aussi Ă  ses cĂŽtĂ©s. Le RĂšgne de Dieu, qui est dĂ©jĂ  arrivĂ© par la venue de JĂ©sus, doit encore se rĂ©aliser pleinement. Nous en voyons dĂ©jĂ  des signes puissants, qui nous mobilisent, qui nous mettent debout, qui nous mettent en marche. Ton RĂšgne est venu, PĂšre. En JĂ©sus-Christ mort et ressuscitĂ©. Qu’il vienne dĂ©finitivement. Dans ma vie de chaque jour, dans ma relation Ă  mes proches. Dans mon pays, oĂč certains rejettent les Ă©trangers et les chĂŽmeurs. PĂšre, que ton RĂšgne vienne, ton RĂšgne d’amour, ton RĂšgne de justice. Que ta volontĂ© d’amour soit faite sur la terre, en moi, ici, maintenant, comme au ciel. Oui, que ton rĂšgne vienne, que ta volontĂ© soit faite ». rĂšgne de Dieu/. L’affirmation que Dieu rĂšgne sur toute la crĂ©ation, que Dieu est roi, est trĂšs familiĂšre Ă  l’Ancien Testament. On la retrouve frĂ©quemment dans le livre des Psaumes L’Eternel est roi Ă  toujours et Ă  perpĂ©tuitĂ©. » psaume 10. Dieu est roi de toute la terre ! Psalmodiez en l’honneur de notre roi ! » psaume 47. Il y a aussi les belles pages prophĂ©tiques sur la venue des temps messianiques, oĂč le rĂšgne absolu de Dieu se manifestera d’une façon Ă©clatante par la neutralisation dĂ©finitive de toutes les forces du mal. JĂ©sus s’approprie, en Luc 4, la prophĂ©tie messianique d’EsaĂŻe 61 L’ Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint, pour annoncer la bonne nouvelle
 » Alors il se mit Ă  leur dire Aujourd’hui, cette parole de l’Ecriture s’est accomplie. » La prĂ©dication du Royaume des cieux paraboles du Royaume, ou du RĂšgne de Dieu, se trouve ainsi, dans les Evangiles, au cƓur du ministĂšre de JĂ©sus. Le RĂšgne de Dieu, dans la personne de JĂ©sus, s’est approchĂ© des hommes. Il s’établit sur la terre comme il l’est dĂ©jĂ  dans le ciel. C’est pourquoi JĂ©sus commence le Notre PĂšre avec cette demande Que ton rĂšgne vienne ! Que ta volontĂ© soit faite sur la terre comme au ciel. »S. Cherchez le Royaume de Dieu et sa justice. »Video 0614 Introduction Ă  la Parasha 49 Abattre ou planter, il faut choisir... JĂ©r 1 2022 08 21 PĂšre, que ton rĂšgne vienne Cherchez le Royaume de Dieu et sa justice. »Read MoreLe Notre PĂšre, la priĂšre de JĂ©sus, je voudrais la proposer en quatre mĂ©ditations. Aujourd’hui, nous abordons le dĂ©but de cette priĂšre Notre PĂšre qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifiĂ©. » Nous avons parfois une certaine hĂ©sitation, une certaine apprĂ©hension Ă  dire cela. Cette priĂšre n’est pas Ă©vidente. En disant le Notre PĂšre, nous entrons dans le mystĂšre de la priĂšre de JĂ©sus, dans cette relation extraordinaire d’amour entre JĂ©sus et Dieu, son PĂšre. Certaines -Eglises emploient le mot oser » pour introduire cette priĂšre. Ainsi les Eglises orthodoxes Daigne nous accorder, Seigneur, d’oser avec joie et sans tĂ©mĂ©ritĂ© t’appeler PĂšre. » Et Luther, dans son Petit CatĂ©chisme, nous encourage Ă  dire le Notre PĂšre sans peur Dieu veut, par ces paroles, nous convier Ă  croire qu’il est vraiment notre PĂšre et que nous sommes vraiment ses enfants, afin que nous le priions sans crainte et avec une pleine confiance, comme de chers enfants adressent leurs demandes Ă  leur cher pĂšre. » En quelques mots simples, Luther nous conduit, je crois, au cƓur du mystĂšre de cette utilisait ce mot PĂšre en aramĂ©en, sa langue maternelle, en disant Abba ». C’est l’appellation de tendresse, quand l’enfant appelle son pĂšre papa ». Personne n’eĂ»t osĂ© alors dire Abba » Ă  Dieu. Ce dĂ©but de la priĂšre dominicale nous fait donc entrer au cƓur de cette rĂ©volution spirituelle apportĂ©e par JĂ©sus et qui a bouleversĂ© pour toujours l’histoire des hommes. JĂ©sus avait conscience d’ĂȘtre le Fils, l’unique de Dieu. Il vivait cette intimitĂ© de Fils uniqueMais la grande rĂ©volution est -venue surtout de ce que JĂ©sus se sait aussi frĂšre des hommes, et qu’il est venu pour nous rĂ©vĂ©ler que Dieu est aussi notre papa. -JĂ©sus veut nous entraĂźner Ă  sa suite, dans son aventure spirituelle, dans sa relation filiale. Il nous apprend Ă  prier Dieu en l’appelant notre PĂšre, notre Abba Quand vous priez, -dites Notre PĂšre qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifiĂ©. »Tous ceux qui prient vraiment le Notre PĂšre deviennent ainsi Ă  leur tour des rĂ©volutionnaires. Ils prennent Dieu au sĂ©rieux. Ils prennent l’Evangile au sĂ©rieux. Si j’appelle Dieu PĂšre, Abba, je suis alors -totalement engagĂ© dans Sa volontĂ© pour moi et pour les hommes. Du coup, nous sommes embarquĂ©s dans l’aventure missionnaire de JĂ©sus Comme le PĂšre m’a envoyĂ©, je vous envoie. » En communion avec le Fils unique, je deviens fils et je prie Notre PĂšre qui es aux cieux, que ton nom de PĂšre soit sanctifiĂ©. » Que personne ne blasphĂšme ton nom Ă  cause de mon manque d’amour Ă  moi. Tu te dĂ©voiles Ă  moi, par JĂ©sus, comme amour, vie et rĂ©surrection. Tu es mon PĂšre et tu es notre PĂšre. Avec cette priĂšre, JĂ©sus me rappelle que l’humanitĂ© entiĂšre devient ici une famille de frĂšres. Qui es aux cieux » me rappelle aussi la grandeur et la distance de Dieu, en mĂȘme temps que sa proximitĂ© d’amour et de tendresse. Ce Dieu si proche qu’il se fait appeler notre PĂšre est le CrĂ©ateur du ciel et de la terre. Il est le Tout Autre. Le Dieu TrĂšs Saint. Celui qui me -libĂšre, qui me rĂ©volutionne, qui me dĂ©clare son amour, qui me ressuscite. Comment son nom sera-t-il sanctifiĂ© parmi nous ? Luther pose la question et rĂ©pond C’est -lorsque nous conformons saintement notre vie Ă  la Parole de Dieu, comme des enfants de Dieu. » Prions nous aussi avec JĂ©sus Notre PĂšre qui es aux cieux, que ton nom soit sanc-tifiĂ© ! » Amen. /Dieu PĂšre/. Des priĂšres sumĂ©riennes, bien antĂ©rieures au temps de MoĂŻse, utilisaient le mot pĂšre pour dĂ©signer le dieu. L’Ancien Testament, par contre, utilise rarement la symbo-lique du PĂšre pour parler de Dieu dans sa relation avec l’homme, afin d’éviter toute confusion anthropomorphique ou idolĂątrique. Dieu est le Tout autre. Il n’est pas notre gĂ©niteur, mais notre crĂ©ateur Dieu crĂ©a l’homme Ă  son image. » Quand MoĂŻse demande Ă  Dieu S’ils me disent Quel est son nom ? que leur dirai-je ? », Dieu rĂ©pond Je suis celui qui suis. » Bien que rarement utilisĂ©e une quinzaine de fois, cette image de Dieu PĂšre d’IsraĂ«l, quand elle est employĂ©e, est trĂšs forte et belle Je suis un PĂšre pour IsraĂ«l, EphraĂŻm est mon premier-nĂ©. » Jr 1. La rĂ©volution de JĂ©sus et du Notre PĂšre est donc dans le mot PĂšre tel que l’employait constamment JĂ©sus et qu’il nous enseigne Ă  dire en nos priĂšres Abba, papa. S. Voici comment vous devez prier
 » Notre PĂšre qui es aux cieux Voici comment vous devez prier
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malheur Ă  l homme qui se confie en l homme